Je ne sais pas si je suis un cas particulier mais j’ai toujours cru que j’étais hyper sociable mais en fait ça m’épuise. Je peux rester seule hyper longtemps. Il a fallu que l’on décortique cela avec ma psy pour comprendre que mes moments de solitude étaient essentiels pour moi sinon je pétais un câble littéralement : crise de panique et pleurs incontrôlés. Comme un besoin de se retrouver dans un cocon pour vider le trop pleins d’émotions et de pensées que les autres mais aussi « l’agitation du monde » provoque. C’est très dur pour moi car j’adore les gens, j’ai beaucoup d’amix, j’ai un double métier qui me met en contact quasi permanent avec les gens, j’aime ma famille et j’ai beaucoup besoin d’elle donc j’ai toujours un élan vers tout ça... mais ça me rattrape à chaque fois : je ne me rend pas compte que desfois c’est trop.
Pendant très longtemps j'étais comme ça, j'avais un "agenda de ministre", je voyais tout le temps des gens. Puis j'ai calmé ça et je me suis recentrée et mes niveaux de stress, d'épuisement, la fréquence à laquelle j'étais malade ont dégringolé... Après, le masking autistique jouait aussi certainement, mais toustes les autistes ne sont pas introverti.es donc pas que !
Idem avec l’agenda de ministre... ça se traduisait aussi par sortir beaucoup voir les gens et donc... boire de l’alcool pour lisser la fatigue de la sociabilité... bon et bien je me sens moins seule ahah merci de ton retour d’expérience
Je peux rester seule ultra longtemps (tant que je communique à ma discrétion en virtuel) mais en revanche l'inverse non. Je vis avec mon conjoint, mais je passe près de la moitié de la journée toute seule. Même en week-end, je m'isole au moins 1h/jour.
C est difficile de quantifier, je sais juste que j aime de plus en plus seule etre seule avec moi même .Cependant je suis suis de nature sociable. Je recharge mes batteries en discutant avec des inconnus le moment présent et cela me suffit pour recharger mes batteries. Mes amis ne comprennent pas ce changement je ne ressens plus le besoin d être avec les autres .Je crois qu il me faut afin d éviter de froisser mes amis qui ne comprennent pas que je les évite du coup. Mais je suis heureuse ......la solitude me permet de me recentrer .
Plus je vieillis et prends conscience de qui je suis et que je n ai plus besoin d être constamment entouré d amis. Je me sens bien avec moi même, cependant étant très sociable je compense en rencontrant des inconnus le temps d un karaoké par exemple on rigole on chante on se connaît pas....ça permet de garder un certain équilibre. Et après je me retrouve et peu rester 2 à 3 jours sans échange.
Je pense que tout le monde a besoin de solitude, juste ceux qui ne le sont pas ne s'en rendent pas toujours compte. Je m'en rendais pas compte en étant en couple vivant sous le même toit puis enfant pendant 8 ans; mais quand je me suis séparée j'ai fait WAHOU mais en fait c'est trop bien d'être toute seule, sans enfant et sans mec. Pour autant, je suis extravertie, très sociable, j'adore voir du monde, je m'enrichis vraiment au contact des autres. Mais aujourd'hui je ne peux m'empêcher de le constater dans les couples traditionnels que je vois, je me dis "comment fait-elle?" (parce que le mec trouve toujours un moyen d'être seul, madame moins ;-)), elle n'est jamais toute seule... Ainsi je ne veux plus vivre avec quelqu'un aujourd'hui. Pour la relation comme pour soi, c'est juste vital!
Je ne sais pas si je suis un cas particulier mais j’ai toujours cru que j’étais hyper sociable mais en fait ça m’épuise. Je peux rester seule hyper longtemps. Il a fallu que l’on décortique cela avec ma psy pour comprendre que mes moments de solitude étaient essentiels pour moi sinon je pétais un câble littéralement : crise de panique et pleurs incontrôlés. Comme un besoin de se retrouver dans un cocon pour vider le trop pleins d’émotions et de pensées que les autres mais aussi « l’agitation du monde » provoque. C’est très dur pour moi car j’adore les gens, j’ai beaucoup d’amix, j’ai un double métier qui me met en contact quasi permanent avec les gens, j’aime ma famille et j’ai beaucoup besoin d’elle donc j’ai toujours un élan vers tout ça... mais ça me rattrape à chaque fois : je ne me rend pas compte que desfois c’est trop.
Suis je la seule ??
Pendant très longtemps j'étais comme ça, j'avais un "agenda de ministre", je voyais tout le temps des gens. Puis j'ai calmé ça et je me suis recentrée et mes niveaux de stress, d'épuisement, la fréquence à laquelle j'étais malade ont dégringolé... Après, le masking autistique jouait aussi certainement, mais toustes les autistes ne sont pas introverti.es donc pas que !
Idem avec l’agenda de ministre... ça se traduisait aussi par sortir beaucoup voir les gens et donc... boire de l’alcool pour lisser la fatigue de la sociabilité... bon et bien je me sens moins seule ahah merci de ton retour d’expérience
Je peux rester seule ultra longtemps (tant que je communique à ma discrétion en virtuel) mais en revanche l'inverse non. Je vis avec mon conjoint, mais je passe près de la moitié de la journée toute seule. Même en week-end, je m'isole au moins 1h/jour.
C est difficile de quantifier, je sais juste que j aime de plus en plus seule etre seule avec moi même .Cependant je suis suis de nature sociable. Je recharge mes batteries en discutant avec des inconnus le moment présent et cela me suffit pour recharger mes batteries. Mes amis ne comprennent pas ce changement je ne ressens plus le besoin d être avec les autres .Je crois qu il me faut afin d éviter de froisser mes amis qui ne comprennent pas que je les évite du coup. Mais je suis heureuse ......la solitude me permet de me recentrer .
Plus je vieillis et prends conscience de qui je suis et que je n ai plus besoin d être constamment entouré d amis. Je me sens bien avec moi même, cependant étant très sociable je compense en rencontrant des inconnus le temps d un karaoké par exemple on rigole on chante on se connaît pas....ça permet de garder un certain équilibre. Et après je me retrouve et peu rester 2 à 3 jours sans échange.
Je pense que tout le monde a besoin de solitude, juste ceux qui ne le sont pas ne s'en rendent pas toujours compte. Je m'en rendais pas compte en étant en couple vivant sous le même toit puis enfant pendant 8 ans; mais quand je me suis séparée j'ai fait WAHOU mais en fait c'est trop bien d'être toute seule, sans enfant et sans mec. Pour autant, je suis extravertie, très sociable, j'adore voir du monde, je m'enrichis vraiment au contact des autres. Mais aujourd'hui je ne peux m'empêcher de le constater dans les couples traditionnels que je vois, je me dis "comment fait-elle?" (parce que le mec trouve toujours un moyen d'être seul, madame moins ;-)), elle n'est jamais toute seule... Ainsi je ne veux plus vivre avec quelqu'un aujourd'hui. Pour la relation comme pour soi, c'est juste vital!