Le regret maternel : regretter d'avoir eu des enfants parce qu'on réalise qu'il y a un fossé entre ce qu'on s'était imaginé (ou ce que la société impose de croire) et la réalité de la vie lorsqu'on a des enfants. Ce qui ne veut pas dire qu'on n'aime pas nos enfants. Mais on n'aime pas les transformations que ça a apporté dans notre vie, on n'aime pas les contraintes, on n'aime pas la femme qu'on est devenue.
Je remarque que beaucoup de sujet nous font honte quand cela nous concerne ! Il faut beaucoup de courage pour s’exprimer sur sa chlamydia, sa tentative de suicide, ses hémorroïdes,….
Bon je voulais dire des trucs mais ça a déjà été couvert lol (j'suis childfree, aro/ace, agenre, associale et sous médoc car je vois 3 psy, donc voilà ce genre de conneries je connais. Par contre qui me connait moi a 100%, c'est une autre question car c'est dur de faire suffisamment confiance à qq'un pour sortir tout ça. Bon ici j'me sens assez anonyme pour...)
Les souffrances psychologiques, la dépression, les personnes qui ressentent perpétuellement un mal-être quotidien, la grossophobie, négociation de salaire & sexe féminin, le mythe du bonheur, pour s'épanouir au travail il faut être passionné, la dépression post-partum, la beauté de l'accouchement
Le burnout et le fait que les personnes avouant en avoir vécu un sont clairement discriminées lors des processus de recrutement. Et plus largement la santé mentale.
En vrac: l'hygiène au travail, le non désir d'enfants, le rapport aux personnes handicapées, la sexualité des enfants, les fraudes/combines que chacun fait pour "contourner" la règle, la fascination pour quelqu'un de communément détesté, la détestation de quelqu'un ou quelque chose de communément adoré
la solitude/l'isolement des personnes àgées, la maltraitance (à l'hôpital, en ehpad, en famille), le lâchage dont ceratins sont l'objet par leurs enfants (plus souvent le fait des fils ?)
Comme ça en vrac: les règles (menstruations) et la vie professionnelle, voter à l'extrême droite, et la politique en général, l'argent, la ménopause, tout ce qui appartient à la sphère scatologique (caca, pipi, rots, pets, vomi),...les hommes qui tricotent (ou qui aiment le rose, le ménage ou faire du shopping)...
La relation avec nos parents quand elle est mauvaise / très mauvaise / inexistante.
Le fait de ne pas vouloir d'enfant, ça a déjà été dit, mais particulièrement pour une femme.
Accouchement, postpartum, modifications du corps...
Allaitement non écourté
L'éducation dite "bienveillante", mais en fait simplement le fait de respecter son enfant comme un être humain, ne pas le taper, ne pas l'humilier, etc... Les violences éducatives font partie du paysage, c'est compliqué dès qu'on fait différemment.
Le fait qu'une enfant soit bruyant, y compris dans les lieux publics.
La place de la femme dans le couple (exclusif, hétérosexuel). Je précise, il est compliqué d'aborder cette question, dans le sens où rapidement, on peut se faire taxer de "féministe extrémiste" (que ce soit par les hommes et les femmes), alors qu'il serait crucial, de mon point de vue, d'avoir une éducation quant aux responsabilités de chacun dans un couple, savoir déceler les "situations à risque" et savoir vers qui se tourner pour avoir de l'aide.
J'ai vu sur Twitter une personne proposer de mettre un stand qui sensibiliserait à l'installation d'une certaine toxicité dans le couple, au salon du mariage. Je trouve l'idée super, mais je pense que n'irait, car quand on va se marier, on n'a pas envie de penser que ça va partir en cacahuète (ou que la relation n'est déjà pas équilibrée). Alors que ça pourrait permettre de revoir la communication dans le couple, de déconstruire des croyances, ect...
Le regret maternel : regretter d'avoir eu des enfants parce qu'on réalise qu'il y a un fossé entre ce qu'on s'était imaginé (ou ce que la société impose de croire) et la réalité de la vie lorsqu'on a des enfants. Ce qui ne veut pas dire qu'on n'aime pas nos enfants. Mais on n'aime pas les transformations que ça a apporté dans notre vie, on n'aime pas les contraintes, on n'aime pas la femme qu'on est devenue.
- la souffrance animale
- toute la réalité autour de l'accouchement: les dépressions post-partum, les dégâts physiques de l'accouchement sur le corps des femmes
- le choix de ne pas avoir d'enfants
- le fait d'avoir plusieurs relations amoureuses en même temps
- la virginité (surtout pour les femmes)
- les salaires
- les placements d’argent
- le chômage
- le nombre de partenaires sexuels
- les pratiques sexuelles possibles
- nos organes genitaux
- les opinions politiques
- les religions et les règles qu’elles imposent
- croyance peu communes ou extraverties
- l’euthanasie
- le suicide/ tentative de suicide
- les douleurs chroniques
- obésité / boulimie / anorexie : troubles du comportement alimentaire
- les maladies mentales
- les difficultés psychologiques
- les dépressions
- l’émotivité notamment dans le cadre du travail
- les violences physiques
- les violences psychologiques
- les problèmes digestifs et de caca
- l’incontinence
- les troubles sexuels
- les maladies sexuelles
- …
Désolée c’est en vrac !!
Et il y en a encore tellement d’autres !!
Je remarque que beaucoup de sujet nous font honte quand cela nous concerne ! Il faut beaucoup de courage pour s’exprimer sur sa chlamydia, sa tentative de suicide, ses hémorroïdes,….
Le fait de ne pas aimer ces enfants ouais je pense que c’est bien tabou !
Un autre tabou je pense que c’est la prise de psychotropes, antidépresseurs, anxiolytiques… Tout le monde en prend mais personne n’en parle !
L'inceste
Les violences conjugales
- Les couples libres
- Le pouvoir des pasteurs dans la vie des gens.
- Le paradigme colonial
Le suicide, la maladie (cancers..), l'euthanasie, l'argent, l'éducation financière (surtout en France), la dépression.
Bonsoir à tous
Les écarts de salaires entre les hommes et les femmes à compétences et diplômes égaux en entreprise.
Ma sœur dit qu'on parle de tout aujourd'hui, mais qu'il faut savoir trier
Le pipi dans la douche 😉
Le fait de ne pas aimer ses enfants
Le fait de préférer un de ses enfants
Avoir honte de penser ce qu'on pense mais qu'on ne peut pas s'empêcher de penser
Le fait de ne pas vouloir d’enfant ( comme moi )
Bon je voulais dire des trucs mais ça a déjà été couvert lol (j'suis childfree, aro/ace, agenre, associale et sous médoc car je vois 3 psy, donc voilà ce genre de conneries je connais. Par contre qui me connait moi a 100%, c'est une autre question car c'est dur de faire suffisamment confiance à qq'un pour sortir tout ça. Bon ici j'me sens assez anonyme pour...)
Les souffrances psychologiques, la dépression, les personnes qui ressentent perpétuellement un mal-être quotidien, la grossophobie, négociation de salaire & sexe féminin, le mythe du bonheur, pour s'épanouir au travail il faut être passionné, la dépression post-partum, la beauté de l'accouchement
Le burnout et le fait que les personnes avouant en avoir vécu un sont clairement discriminées lors des processus de recrutement. Et plus largement la santé mentale.
En vrac: l'hygiène au travail, le non désir d'enfants, le rapport aux personnes handicapées, la sexualité des enfants, les fraudes/combines que chacun fait pour "contourner" la règle, la fascination pour quelqu'un de communément détesté, la détestation de quelqu'un ou quelque chose de communément adoré
- l'inceste
- la santé mentale
- la souffrance animale
- le fait de pas vouloir d'enfant/la contraception définitive
- les violences (notamment sexuelles) faites aux personnes sexisées et lgbtqia+
- Le fait que TOUTES les femmes sont des victimes a un (des) moment(s) de leur vie
- la considération de l'hétérosexualité comme étant politique et aliénante pour les personnes sexisées
L'adoption comme premier choix (et non comme une alternative ou un second recours après la parentalité biologique)
- Les règles (ça a l'air de changer cela dit, j'ai repris les études et côtoyé des gens de 20 ans qui en parlaient tout genre confondu)
- Les sexualités sans pénétration
- La sexualité chez les enfants/bébés (,je suis tombée des nues quand j'ai appris que ça existait, j'aurai bien aimé comprendre plus tôt)
- Les fétichismes (on en entend parler que pour se moquer, mais on n'en parle jamais vraiment)
la solitude/l'isolement des personnes àgées, la maltraitance (à l'hôpital, en ehpad, en famille), le lâchage dont ceratins sont l'objet par leurs enfants (plus souvent le fait des fils ?)
Les violences familiales
La souffrance animale
Le mal être
Bon, connaissant ta position sur le sujet, je sais que je prêche à un convaincu, mais bon, d'après mon expérience, ce serait le polyamour.
Comme ça en vrac: les règles (menstruations) et la vie professionnelle, voter à l'extrême droite, et la politique en général, l'argent, la ménopause, tout ce qui appartient à la sphère scatologique (caca, pipi, rots, pets, vomi),...les hommes qui tricotent (ou qui aiment le rose, le ménage ou faire du shopping)...
Les cycles menstruel : la douleur que ça génère, l'impact que pas ça peut avoir sur la vie...
La relation avec nos parents quand elle est mauvaise / très mauvaise / inexistante.
Le fait de ne pas vouloir d'enfant, ça a déjà été dit, mais particulièrement pour une femme.
Accouchement, postpartum, modifications du corps...
Allaitement non écourté
L'éducation dite "bienveillante", mais en fait simplement le fait de respecter son enfant comme un être humain, ne pas le taper, ne pas l'humilier, etc... Les violences éducatives font partie du paysage, c'est compliqué dès qu'on fait différemment.
Le fait qu'une enfant soit bruyant, y compris dans les lieux publics.
La place de la femme dans le couple (exclusif, hétérosexuel). Je précise, il est compliqué d'aborder cette question, dans le sens où rapidement, on peut se faire taxer de "féministe extrémiste" (que ce soit par les hommes et les femmes), alors qu'il serait crucial, de mon point de vue, d'avoir une éducation quant aux responsabilités de chacun dans un couple, savoir déceler les "situations à risque" et savoir vers qui se tourner pour avoir de l'aide.
J'ai vu sur Twitter une personne proposer de mettre un stand qui sensibiliserait à l'installation d'une certaine toxicité dans le couple, au salon du mariage. Je trouve l'idée super, mais je pense que n'irait, car quand on va se marier, on n'a pas envie de penser que ça va partir en cacahuète (ou que la relation n'est déjà pas équilibrée). Alors que ça pourrait permettre de revoir la communication dans le couple, de déconstruire des croyances, ect...
Les émotions des hommes.