Le dernière fois vous avez été pile 40% à choisir l’argent sur l’impact (60% à choisir l’inverse). Si tu as raté ce dilemme : voici le lien pour voir la discussion
Le génie ferme les yeux sur les tentatives de tricheries de certains d’entre vous et revient avec un autre dilemme :
A) Devenir dictateur/dictatrice avec un pouvoir absolu. Mais en échange tu dois vivre avec 2000€ par mois. Sachant que tu dois financer ton logement. Tu n’es pas à l’Elysée.
B) Tu gagnes immédiatement 100 millions d’euros sur ton compte en banque. Mais en échange tu as interdiction formelle d’utiliser cet argent pour influer sur la vie politique du pays.
Tu préfères A ou B ? Pourquoi ?
Pour répondre : appuie sur le bouton bleu ci-dessus. N’utilise pas la fonction “répondre” de ton application email : personne ne le verrait sauf moi.
Le pouvoir sans argent permet au moins de faire avancer la société dans ce qui est, pour moi (mais aussi pour les autres autant que je pourrai), la bonne direction
Ce dilemme est une sorte de "Ton avenir ou celui des autres ?", car la réponse A n'améliore pas ta situation mais change celle des autres, alors que la B ne change que la tienne
A et je fais une VIe république réellement démocratique, décentralisée voire fédérale, qui ne prélève pas plus à la nature que ce qui est nécessaire selon le GIEC avec des trains partout, des vélo routes, pénalisation aux entreprises qui font du suremballage, de l' obsolescence programmée, et incitation aux consommateurs de garder longtemps leurs appareils (bonus fiscal), et à consommer local, qui accueille les citoyens de ses anciennes colonies, qui compense le coût de formation des médecins et ingénieurs africains à leurs Etats, qui investi dans les secteurs clés du XXIe siècle (santé, mobilité, formation, écologie, sport, art), qui s' excuse vraiment pour la colonisation, réforme radicale de l'école et des vieux privilèges et status et l' interdiction des capitaux étrangers à plus de 50% dans les clubs de sports pro.
Soyons honnête, 100 millions ne permettent même pas de racheter l' OL. Il vaut mieux mettre en place des lois qui favorisent son épanouissement. Et même un milliard ne vaut pas le coût, par rapport à l' impact supérieur que permet le pouvoir politique.
Autant d'argent pour le seul confort de ma famille, sans pouvoir créer d'entreprise ou d'école, c'est trop frustrant.
D'un autre côté, tant de pouvoir pour une seule personne ... ça demande beaucoup de sagesse. C'est le défi le plus ambitieux et le plus intéressant. mais serais-je à la hauteur des mes idéaux ? C'est ce qui me fait hésiter à opter pour A.
Si le pouvoir absolu implique la possibilité de mettre en place des principes et outils démocratiques pour que chaque citoyen reprenne du pouvoir de décision dans chaque sphère de la société, alors A évidemment :D
A la façon des entreprises "Opales" : le boss efface son pouvoir pour faire émerger l'autogouvernance (mais conserve sur le papier le rôle de PDG).
Sinon réponse C, le suicide ! Je ne pourrais pas me regarder dans le miroir le matin si j'étais un personnage autocratique. Et la perspective B me rend malheureux si je m'y projette : je me suis rendu compte il y a un moment qu'une de mes principales raisons de vivre était de participer à améliorer le monde. Et c'est un gros pan de ma vie aujourd'hui en tout cas dont je ne pourrais pas me passer.
B - Si je peux déjà avoir un impact positif sur les gens qui m’entoure/que j’aime : améliorer leur quotidien, les sortir de la « misère » pour certain(e)s, leur permettre de faire des choses qu’il n’aurait jamais imaginé faire sans cela, ... ce sera déjà très bien👌🏻
On ne peut satisfaire tout le monde... Nous avons tous des vies, des attentes différentes ! Et dictateur avec 2000e/mois c’est n’importe quoi😂😂
Réponse qui ne sera pas validée mais on peut prendre l’agent et œuvrer en politique/pour la société dans un autre pays ? 😇😇
B, car je ne souhaite pas faire le bonheur de 7,8 milliards de personnes contre leur grée. Les dirigeants qui croient en leur programme sont légion. L’empire, la république, le communisme, le libéralisme, etc... tout ces modèles politiques ont été élaborés pour le bien des peuples et des civilisations. La littérature a longuement illustré cette utopie du bien universel. Comme dans l’histoire de l’humanité, ça se termine mal.
J'ai hésité à répondre car le mot "dictateur" m'est un peu épidermique mais au final et pour illustrer tout le paradoxe du genre humain -> je réponds A : il y a des trucs de fou à tenter
- actions tranchées pour la planète -> quota CO2 par personne, interdiction d'avoir une voiture personnel
- actions tranchées pour l’humanité -> interdiction des cirques avec animaux, des corridas, des KINDER Surprises
- lutter contre les lobbies
... mais bon, bonjour les manifs et ce n'est pas comme cela que cela marche ....
B sans hésitation. Cela tombe à pic, j'ai justement commandé un livre de spiritualité à ce sujet il y a quelques jours. Sinon pour l'explication je rejoins totalement la réflexion de Julien.
A. Avec le pouvoir absolu, j'interdis Trump, j'interdis les rendez-vous sous la Tour Eiffel à midi, j'interdis le sexe, la bonne nourriture dont le vin, la musique, le rire. Putain serais-je en train de devenir un méchant, un ayatollah, un dictateur ? Non, non par ce que je m'engage à laisser Nicolas continuer de nous envoyer plein de posts ! Merci qui ?
En définitive la question est tronquée par les mots "dictateur-pouvoir absolu". A une échelle (réduite ?), ce "dictateur" c'est déjà le rôle du père de famille ou du patron de sa boîte, par exemple. Donc nous côtoyons quotidiennement des "dictateurs" à défaut d'en être...
Rien ne change si ce n'est perdre du pouvoir d'achat pour gagner du pouvoir monarchique.
B le statut de dictature implique un certain niveau de cruauté que je ne suis pas capable d'assumer alors que ne pas agir politiquement ne me culpabilisera pas outre mesure
B car je n’ai jamais ressenti d’amour pour le pouvoir, avec les millions on peut faire du bien aux gens sur des choses concrètes, mieux que n’importe quelle politique, pas en leur donnant on argent plutôt en leur procurant les choses dont ils manqueraient, mais 100 millions c’est quand même pas assez pour faire du bien à tout le monde, ce sera simplement autour de moi...
B. Et je l'utilise pour faire des actions écologiques. Et là tu viendras me dire que je n'avais pas le droit dans le contrat initial. Mais je te dirai que je fais ce que je veux avec ma thune ! Et que si t'es pas content, j'ai de quoi me payer un avocat :D
Je reste sur ma réponse au premier débat, je préfère l'impact à l'argent. Donc A bien sur. Si j'ai bien compris les 2000€ me serve de salaire donc juste pour moi, ma vie perso, ce qui est suffisant pour vivre. Alors que au pouvoir en tant que dictature je suppose que je peux utiliser l'argent du pouvoir public pour mettre en oeuvre tout ce que je veux, et donc réorienter les politiques dans la bonne direction, m'entourer des bonnes personnes pour ces prises de décisions, faire de la concertation et obtenir des consensus, etc.
Vu que les deux sont des pouvoirs anti-démocratiques, autant choisir A pour que ce soit moins insidieux, gagner un salaire correct, payer mon loyer comme tout le monde, et utiliser mon pouvoir absolu pour trancher en cas de partage des votes.
B. Je pense qu'on n'obtient pas vraiment une société épanouie avec un plein pouvoir. Et je suis certaine de pouvoir être assez créative que pour trouver un moyen de faire bouger les choses...
2) si les 100 M€ n'ont pas un but politique, ils peuvent avoir un but environnemental, humanitaire... on peut trouver des tas de raison permettant d'influer par l'argent sans que cela soit "politiquement détectable".
[Discussion ouverte] Tu préfères le pouvoir ou l'argent ?
A) l'argent sans le pouvoir n'a pas d'intérêt...
Le pouvoir sans argent permet au moins de faire avancer la société dans ce qui est, pour moi (mais aussi pour les autres autant que je pourrai), la bonne direction
Ce dilemme est une sorte de "Ton avenir ou celui des autres ?", car la réponse A n'améliore pas ta situation mais change celle des autres, alors que la B ne change que la tienne
A et je fais une VIe république réellement démocratique, décentralisée voire fédérale, qui ne prélève pas plus à la nature que ce qui est nécessaire selon le GIEC avec des trains partout, des vélo routes, pénalisation aux entreprises qui font du suremballage, de l' obsolescence programmée, et incitation aux consommateurs de garder longtemps leurs appareils (bonus fiscal), et à consommer local, qui accueille les citoyens de ses anciennes colonies, qui compense le coût de formation des médecins et ingénieurs africains à leurs Etats, qui investi dans les secteurs clés du XXIe siècle (santé, mobilité, formation, écologie, sport, art), qui s' excuse vraiment pour la colonisation, réforme radicale de l'école et des vieux privilèges et status et l' interdiction des capitaux étrangers à plus de 50% dans les clubs de sports pro.
Soyons honnête, 100 millions ne permettent même pas de racheter l' OL. Il vaut mieux mettre en place des lois qui favorisent son épanouissement. Et même un milliard ne vaut pas le coût, par rapport à l' impact supérieur que permet le pouvoir politique.
B - Sans hésiter une seconde
Le pouvoir absolu ? Mais ça va pas la tête ? Vous êtes dangereux à vous faire autant confiance...
Autant d'argent pour le seul confort de ma famille, sans pouvoir créer d'entreprise ou d'école, c'est trop frustrant.
D'un autre côté, tant de pouvoir pour une seule personne ... ça demande beaucoup de sagesse. C'est le défi le plus ambitieux et le plus intéressant. mais serais-je à la hauteur des mes idéaux ? C'est ce qui me fait hésiter à opter pour A.
B sans hésiter La soif de pouvoir est un problème d’ego démesuré
Mais A de suite : c'est mon rêve de gagner 2000e par mois !!
Si le pouvoir absolu implique la possibilité de mettre en place des principes et outils démocratiques pour que chaque citoyen reprenne du pouvoir de décision dans chaque sphère de la société, alors A évidemment :D
A la façon des entreprises "Opales" : le boss efface son pouvoir pour faire émerger l'autogouvernance (mais conserve sur le papier le rôle de PDG).
Sinon réponse C, le suicide ! Je ne pourrais pas me regarder dans le miroir le matin si j'étais un personnage autocratique. Et la perspective B me rend malheureux si je m'y projette : je me suis rendu compte il y a un moment qu'une de mes principales raisons de vivre était de participer à améliorer le monde. Et c'est un gros pan de ma vie aujourd'hui en tout cas dont je ne pourrais pas me passer.
B
parce que le pouvoir corrompt
Parce que s'il est absolu, on est seul et je suis un animal social
Parce que le pouvoir absolu est contre producrif...
B - Si je peux déjà avoir un impact positif sur les gens qui m’entoure/que j’aime : améliorer leur quotidien, les sortir de la « misère » pour certain(e)s, leur permettre de faire des choses qu’il n’aurait jamais imaginé faire sans cela, ... ce sera déjà très bien👌🏻
On ne peut satisfaire tout le monde... Nous avons tous des vies, des attentes différentes ! Et dictateur avec 2000e/mois c’est n’importe quoi😂😂
Réponse qui ne sera pas validée mais on peut prendre l’agent et œuvrer en politique/pour la société dans un autre pays ? 😇😇
Ne souhaitant pas m’investir dans la vie politique je choisis la réponse B. Je trouverai bien un moyen de donner du sens à mon travail autrement ^^
B, car je ne souhaite pas faire le bonheur de 7,8 milliards de personnes contre leur grée. Les dirigeants qui croient en leur programme sont légion. L’empire, la république, le communisme, le libéralisme, etc... tout ces modèles politiques ont été élaborés pour le bien des peuples et des civilisations. La littérature a longuement illustré cette utopie du bien universel. Comme dans l’histoire de l’humanité, ça se termine mal.
J'ai hésité à répondre car le mot "dictateur" m'est un peu épidermique mais au final et pour illustrer tout le paradoxe du genre humain -> je réponds A : il y a des trucs de fou à tenter
- actions tranchées pour la planète -> quota CO2 par personne, interdiction d'avoir une voiture personnel
- actions tranchées pour l’humanité -> interdiction des cirques avec animaux, des corridas, des KINDER Surprises
- lutter contre les lobbies
... mais bon, bonjour les manifs et ce n'est pas comme cela que cela marche ....
B sans hésitation. Cela tombe à pic, j'ai justement commandé un livre de spiritualité à ce sujet il y a quelques jours. Sinon pour l'explication je rejoins totalement la réflexion de Julien.
A. Avec le pouvoir absolu, j'interdis Trump, j'interdis les rendez-vous sous la Tour Eiffel à midi, j'interdis le sexe, la bonne nourriture dont le vin, la musique, le rire. Putain serais-je en train de devenir un méchant, un ayatollah, un dictateur ? Non, non par ce que je m'engage à laisser Nicolas continuer de nous envoyer plein de posts ! Merci qui ?
Je choisis A.
En définitive la question est tronquée par les mots "dictateur-pouvoir absolu". A une échelle (réduite ?), ce "dictateur" c'est déjà le rôle du père de famille ou du patron de sa boîte, par exemple. Donc nous côtoyons quotidiennement des "dictateurs" à défaut d'en être...
Rien ne change si ce n'est perdre du pouvoir d'achat pour gagner du pouvoir monarchique.
pourquoi les gens font autant cette fixette sur le pouvoir?.... avec 100 millions t'a le pouvoir sur toi, et c'est déjà très bien!
B le statut de dictature implique un certain niveau de cruauté que je ne suis pas capable d'assumer alors que ne pas agir politiquement ne me culpabilisera pas outre mesure
B
Le fait que les gens sachent que tu as de l’argent peut sûrement suffire à créer de l’influence
L'argent... l'influnce se construit par des actions menées, avec les médias, il y a toujours moyen de démontrer son existence et ses idées.
B
Je doute de mes capacités à gérer un pouvoir absolu
B car je n’ai jamais ressenti d’amour pour le pouvoir, avec les millions on peut faire du bien aux gens sur des choses concrètes, mieux que n’importe quelle politique, pas en leur donnant on argent plutôt en leur procurant les choses dont ils manqueraient, mais 100 millions c’est quand même pas assez pour faire du bien à tout le monde, ce sera simplement autour de moi...
B. Et je l'utilise pour faire des actions écologiques. Et là tu viendras me dire que je n'avais pas le droit dans le contrat initial. Mais je te dirai que je fais ce que je veux avec ma thune ! Et que si t'es pas content, j'ai de quoi me payer un avocat :D
Réponse B
Je reste sur ma réponse au premier débat, je préfère l'impact à l'argent. Donc A bien sur. Si j'ai bien compris les 2000€ me serve de salaire donc juste pour moi, ma vie perso, ce qui est suffisant pour vivre. Alors que au pouvoir en tant que dictature je suppose que je peux utiliser l'argent du pouvoir public pour mettre en oeuvre tout ce que je veux, et donc réorienter les politiques dans la bonne direction, m'entourer des bonnes personnes pour ces prises de décisions, faire de la concertation et obtenir des consensus, etc.
B-pour faire des dons aux associations et financer les initiatives individuelles en faveur de l'éducation, l'environnement, la santé etc
B - et je m'en sers pour améliorer le monde sur ce que je sais/peux faire
B ! Most def
B sans hésiter ! Et si la politique ne me plait pas, je vais habiter ailleurs…
Vu que les deux sont des pouvoirs anti-démocratiques, autant choisir A pour que ce soit moins insidieux, gagner un salaire correct, payer mon loyer comme tout le monde, et utiliser mon pouvoir absolu pour trancher en cas de partage des votes.
B. Je pense qu'on n'obtient pas vraiment une société épanouie avec un plein pouvoir. Et je suis certaine de pouvoir être assez créative que pour trouver un moyen de faire bouger les choses...
B of course!
On peut faire tellement de choses avec 100 millions d'euros...
Réponse B !
La raison :
1) le pouvoir absolu ne m'intéresse pas
2) si les 100 M€ n'ont pas un but politique, ils peuvent avoir un but environnemental, humanitaire... on peut trouver des tas de raison permettant d'influer par l'argent sans que cela soit "politiquement détectable".
PS : citoyens, citoyennes ...
Il est évident que vous avez pas le droit d’utiliser l’argent pour des choses autres qu’individuelles ou familiales.
Tout ce qui touche la société est politique sinon.