Note 1 : j’ai eu pas mal de retours de proche qui m’ont dit que ça les surprenait de voir que la dépression était si violente. La réaction m’a surpris à mon tour parce que là j’ai vraiment raconté ma dépression la plus légère. C’est juste que je ne peux pas raconter les autres car les trous noirs sont trop violents. Je ne me rappelle plus ensuite. Mais déjà… normalement je passe mes journées à lutter contre les pulsions suicidaires. Là je n’ai rien eu de tel et c’était une tranquillité inespérée.
Note 2 : si tu veux lire l’épisode en entier il te suffit de prendre un essai à l’offre premium, que tu peux résilier immédiatement après si tu veux. En cliquant ici :
https://www.ateliergalita.com/f7f1de6b
De retour
Depuis que je suis sorti de la prison du lit, je reprends mes marques avec une vie normale.
L’art jaillit de nouveau en moi et une des premières choses que j’ai envie de faire c’est de mettre ce qui m’est arrivé sous forme littéraire. Mais pas que… j’entends du jazz en passant à vélo et ça m’inspire une chanson jazzy absurde sur la vie d’un chat.
Ça me fait trop rire et j’aime trop mon propre refrain, alors je descends à vélo pour l’enregistrer dans le dictaphone de mon iPhone :
Keep reading with a 7-day free trial
Subscribe to L'Atelier Galita to keep reading this post and get 7 days of free access to the full post archives.