Les vitres tièdes du RER.
Que c’est cliché. Tout le monde écrit sur la grisaille, sur la routine, sur la laideur.
Enfin… il paraît qu’avant personne faisait ça et que Baudelaire a tout changé. J’en sais rien : j’ai pas lu.
J’en retire une certaine fierté : je déteste l’injonction à lire des classiques pour être quelqu’un de cultivé.
Un jour, une personn…
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