Bienvenue aux 300 nouvelles personnes qui nous ont rejoint entre mercredi et dimanche.
Ça fait quand même 10% du total. Donc je me dis que ça vaut le coup de redire globalement comment se déroule l’Atelier. Puisqu’une personne sur dix va commencer son premier lundi avec nous.
L’Atelier c’est mon… atelier. Mon art c’est de faire des articles didactiques. Comme celui sur l’extrême-droite qui a déclenché ce pic d’abonnements. Sauf que… c’est un article de 6 000 mots. Ça me demande des dizaines d’heures de travail.
Sachant que j’ai mon job en CDI à côté, j’arrive à en sortir environ 6 par an. Mais du coup ça fait de longues périodes avec rien.
Un jour, j’ai lu un livre qui s’appelle Show your work et qui racontait que c’était dommage de laisser les gens sans nouvelle entre deux oeuvres. Qu’on pouvait leur montrer nos coulisses, notre atelier, en attendant. Nos inspirations, nos réflexions, nos coups de coeur, etc.
Je me suis donc dit que j’allais essayer. L’Atelier était né. Je change régulièrement de routine, mais pour l’instant voilà à quoi ressemble une semaine d’Atelier :
Le Lundi : Un épisode de mon podcast
Le Mardi : Une micro-pensée
Le Mercredi : Une discussion ouverte ou une micro-pensée
Le jeudi : Une micro-pensée
Le Vendredi : Les découvertes de la semaine
Le Samedi (premium) : Les tweets de la semaine
Le Dimanche (premium) : Les nano-pensées ou les lectures du mois
Il n’y a pas de thème. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai instauré cette routine dans la forme : pour compenser le fait que dans le fond on part dans tous les sens.
Si tu veux voir à quoi ça ressemble, il te suffit de venir voir les emails précédents directement sur le site. Ils sont tous stockés sur ateliergalita.com . Tu n’as même pas besoin de retenir l’URL (même s’il est simple) ou de le mettre dans tes favoris, tu peux te contenter de taper “Atelier Galita” dans Google.
Certaines semaines (environ une par mois), je propose des mini-formations. L’Atelier est financé à 10% par les abonnements premium et à 90% par les formations. Je voulais d’ailleurs en proposer une nouvelle cette semaine mais, comme c’est un peu la suite des trois dernières, j’aimerais bien vous les reproposer avant. Je ne suis pas encore sûr, on verra demain.
Ceci étant dit, revenons à notre programme du lundi : le podcast.
C’était une session de questions/réponses en live
Comme promis, on a fait une session live.
Pour donner de la matière, j’ai commencé par la définition et l'histoire de la notion, que j'ai trouvées sur Wikipédia. Puis on a fait ensemble un test de 20 questions qui s'appelle l'échelle de Clance du syndrome de l'imposteur, du nom de la psychologue qui a étudié le phénomène en premier.
On a ensuite enchaîné avec des questions et une conclusion d'Orelsan.
Je veux dire que j’ai lu une de ses chansons. Orelsan n’est évidemment pas venu.
Le jeu des adjectifs
Pendant les questions/réponses on a réfléchi à comment sortir du syndrome de l’imposteur. Une des voies de travail a été de se servir du jeu des adjectifs.
Qu’est-ce donc ?
C’est un jeu qu’on retrouve dans un livre qui s’appelle Business Model You et où tu choisis une douzaine d’adjectifs parmi une centaine. Ensuite, tu demandes à 4-5 personnes de cercles différentes (amis, famille, collègues, etc) d’entourer une douzaine d’adjectifs qui te correspondent selon eux. Puis vous en discutez ensemble.
Voici la liste :
Mais je t’en ai déjà trop dit…
Je te laisse découvrir par toi-même cet épisode. Comme d’habitude, tu le trouveras sur toutes les plateformes de podcast (apple, spotify, deezer, etc) en tapant “Le syndrome de la page noire”.
Mais tu peux aussi le retrouver directement sur YouTube :
Très touchée par ce live qui a provoqué un je ne sais quoi en moi ... à creuser.