Cette semaine on va parler de copywriting. C’est-à-dire la discipline consistant à vendre avec des mots.
Mais avant de me lancer, j’aimerais bien comprendre ce qui vous bloque (si quelque chose vous bloque). Si je te dis “vendre en écrivant des textes de ventes”, quelles sont les difficultés qui te viennent en tête ? Qu’est-ce qui t’empêche de le faire ?
Pour répondre (et voir les réponses des autres) c’est ci-dessous en passant par le bouton saumon :
Je dirais peut-être déjà arriver à capter l’attention et à la conserver dans un monde où les gens sont sur- sollicités à une époque où les capacités d’attention et de concentration sont de plus en plus faibles.
J'aimerais être capable de prendre la bonne posture au moment où j'écris. Connaitre les bonnes étapes ... J'ai l'impression que la personne va me repérer à 5 000 que je veux lui vendre quelque chose. Comme les démarcheurs pour Médecins sans frontière dans la rue ! je n'ai pas envie d'avoir cette image du coup je n'envoie aucune newsletter. Aussi, je ne sais pas quoi dire à mes contacts sans avoir l'impression de me répéter. Techniquement en plus je me dis que ma newsletter va atterrir dans leurs spam ... je ne sais pas quelle plateforme utiliser ni comment faire pour que ça ne soit pas le cas. Du coup idem je ne passe pas à l'action.
Comme pour tout acte de vente : la peur de la non-légitimité. Je ne sais pas si c'est une question de syndrome de l'imposteur, mais c'est dur de ne pas se dire que ce que je fais n'a pas de valeur, ou pas la valeur qui correspond au prix que je souhaite vendre.
la 1ere difficulté est effectivement de savoir quel prix demander : trop cher fait fuir, pas assez cher donne une sensation de se "brader"...
la 2ème difficulté est de réclamer son dû : le client a dit ok, il paye... mais ensuite demande toujours plus que ce qui était convenu au départ
la 3ème difficulté : convaincre que l'offre est pertinente et que l'on répond à un vrai besoin
enfin de manière générale : l'image du commercial qui rentre par la fenêtre quand on lui ferme la porte - c'est à dire ne pas savoir quand il faut arrêter d'insister, ou au contraire quand il est nécessaire de persister...
Je me rends compte en fait que quand je vends quelque chose je n’ai pas de mal. Depuis petite j’ai suivi ma mère dans ses brocantes, j’ai toujours vu mes parents vendre des spectacles pour enfants, j’avais du mal au début à vendre mes concerts mais surtout à négocier. Ce qui est dur pour moi c’est de trouver le prix juste sans me mettre dans le rouge, surtout pour mes activités de conseils aux artistes, car je sais que celleux qui en le plus besoin sont souvent celleux qui ont le moins d’argent (d’un point de vue systémique et pas de mauvaise gestion).
Je n'aime pas le moment ou tu lis un texte intéressant, et que tu te rends compte que depuis le début l'auteur voulait arriver à un point précis : te vendre quelque chose. Alors que tu avais l'impression qu'il te parlait juste d'un sujet qui lui tenait à coeur et qu'il le faisait pas passion. En fait non, c'était un message commercial, mais bien déguisé. D'un côté je me dis que le texte était bien écrit et que si l'auteur a réussi à m'amener à lire jusque là, c'est plutôt bien ficelé. Mais en n'ayant pas annoncé la couleur dès le début, je me sens vaguement manipulé. Sentiment ambivalent.
"Copywriting is the act or occupation of writing text for the purpose of advertising or other forms of marketing.[1] The product, called copy or sales copy, is written content that aims to increase brand awareness and ultimately persuade a person or group to take a particular action."
Ne pas être à l'aise avec la vente, ne pas savoir le faire, ne pas oser le faire
Je dirais peut-être déjà arriver à capter l’attention et à la conserver dans un monde où les gens sont sur- sollicités à une époque où les capacités d’attention et de concentration sont de plus en plus faibles.
J'aimerais être capable de prendre la bonne posture au moment où j'écris. Connaitre les bonnes étapes ... J'ai l'impression que la personne va me repérer à 5 000 que je veux lui vendre quelque chose. Comme les démarcheurs pour Médecins sans frontière dans la rue ! je n'ai pas envie d'avoir cette image du coup je n'envoie aucune newsletter. Aussi, je ne sais pas quoi dire à mes contacts sans avoir l'impression de me répéter. Techniquement en plus je me dis que ma newsletter va atterrir dans leurs spam ... je ne sais pas quelle plateforme utiliser ni comment faire pour que ça ne soit pas le cas. Du coup idem je ne passe pas à l'action.
Comme pour tout acte de vente : la peur de la non-légitimité. Je ne sais pas si c'est une question de syndrome de l'imposteur, mais c'est dur de ne pas se dire que ce que je fais n'a pas de valeur, ou pas la valeur qui correspond au prix que je souhaite vendre.
la 1ere difficulté est effectivement de savoir quel prix demander : trop cher fait fuir, pas assez cher donne une sensation de se "brader"...
la 2ème difficulté est de réclamer son dû : le client a dit ok, il paye... mais ensuite demande toujours plus que ce qui était convenu au départ
la 3ème difficulté : convaincre que l'offre est pertinente et que l'on répond à un vrai besoin
enfin de manière générale : l'image du commercial qui rentre par la fenêtre quand on lui ferme la porte - c'est à dire ne pas savoir quand il faut arrêter d'insister, ou au contraire quand il est nécessaire de persister...
Je me rends compte en fait que quand je vends quelque chose je n’ai pas de mal. Depuis petite j’ai suivi ma mère dans ses brocantes, j’ai toujours vu mes parents vendre des spectacles pour enfants, j’avais du mal au début à vendre mes concerts mais surtout à négocier. Ce qui est dur pour moi c’est de trouver le prix juste sans me mettre dans le rouge, surtout pour mes activités de conseils aux artistes, car je sais que celleux qui en le plus besoin sont souvent celleux qui ont le moins d’argent (d’un point de vue systémique et pas de mauvaise gestion).
Les difficultés qui me viennent en tête :
- trouver la bonne "punchline" sans être redondant et en restant "authentique", pas simple quand on voit la concurrence sur LinkedIn
- vendre sans trop duper ni manipuler la cible (trouver les mots justes pour que la cible/personne en face ait le libre arbitre ou non d'acheter)
- éviter de tomber dans l'humour grosses ficelles ou a contrario, l'agressivité pour arriver à ses fins
- être concis.e
Je n'aime pas le moment ou tu lis un texte intéressant, et que tu te rends compte que depuis le début l'auteur voulait arriver à un point précis : te vendre quelque chose. Alors que tu avais l'impression qu'il te parlait juste d'un sujet qui lui tenait à coeur et qu'il le faisait pas passion. En fait non, c'était un message commercial, mais bien déguisé. D'un côté je me dis que le texte était bien écrit et que si l'auteur a réussi à m'amener à lire jusque là, c'est plutôt bien ficelé. Mais en n'ayant pas annoncé la couleur dès le début, je me sens vaguement manipulé. Sentiment ambivalent.
Peur de ne pas être assez attractif et intéressant, de manquer d'originalité et de créativité
Que cela ressemble trop à du copywriting
Par définition ce sera toujours du copywriting.
"Copywriting is the act or occupation of writing text for the purpose of advertising or other forms of marketing.[1] The product, called copy or sales copy, is written content that aims to increase brand awareness and ultimately persuade a person or group to take a particular action."