Je l’ai déjà annoncé aux membres premium il y a dix jours. Il est désormais le moment de l’annoncer à tout le reste du monde : mon livre est enfin disponible.
Il est auto-édité donc tu ne peux pas le trouver en rayon. En revanche, je voulais vraiment qu’il y ait une version papier (et une version ebook). Donc j’ai travaillé avec une entreprise dont c’est la spécialité.
Tu peux le trouver sur Amazon : https://www.amazon.fr/dp/B09KHJ8W48/
Ou sur le site web de la Fnac : https://livre.fnac.com/a16429027/Nicolas-Galita-Tu-vas-mourir-et-tant-mieux
Attention, les délais sur la Fnac sont beaucoup plus longs.
Un petit peu de retard sur le plan ?
Le 18 janvier 2018, je commençais à écrire le plan détaillé de ce que j’appelais encore à l’époque le livre sans titre. J’étais persuadé que je le sortirai pour Septembre 2018.
Comme tu le vois… le plan a échoué.
Ou plutôt, le plan a réussi mais avec 3 ans de décalage. J’aurais grave eu le temps de mourir entre temps. D’ailleurs, je me suis beaucoup dit que ce serait un de mes regrets.
Heureusement, comme tu le sais, je ne suis pas mort entre temps. Ou alors, je ne suis pas au courant. Et c’est finalement pas si terrible que ça.
Qu’est-ce que ça raconte ?
Je viens d’écrire plusieurs fois le mot mort. Je ne l’ai même pas fait exprès. Il n’y avait pas de plan. En tout cas pas pour ça : ce n’est pas écrit sur le brouillon que je suis en train de suivre. Ça m’est venu spontanément. Parce que c’est la pensée qui m’a traversé. Mais ce n’est pas un hasard : ce livre commence par ce sujet.
Parce qu’une des raisons pour lesquelles on passe à côté de sa vie c’est qu’on a peur d’accepter qu’on va mourir un jour.
Tu le sais. C’est un cliché du développement personnel.
On a deux vies et la deuxième commence quand on comprend qu’on en a qu’une.
Cliché ? Cliché.
Mais ça reste vrai.
J’ai donc décidé de commencer par la fin. Comme quand tu fais un retro-planning dans le monde professionnel.
Je sais que ça peut paraître angoissant mais en vrai c’est libérateur. Parce que certaines des choses qui nous tracassent deviennent dérisoires quand on se rappelle qu’on va mourir.
J’ai vu des personnes changer du tout au tout après une expérience où elles frôlent la mort. Comme si ça les libérait totalement. Comme si elles commençaient à vivre à ce moment.
Mais c’est quand même dommage de devoir frôler la mort pour ça ? Tout le monde n’en a pas la “chance”.
Ma quête
Dans ce livre je voulais partager une méthode pour améliorer sa vie. Avant on appelait ça la philosophie. Maintenant on appelle ça le développement personnel. Parce que quand on parle de philosophie maintenant on imagine un truc forcément abstrait. Mais peu importe, les deux appellations me vont.
Et c’est là que me démange d’écrire que ce livre c’est Ma Philosophie pour te mettre Amel Bent dans la tête.
Sauf que y’a un truc dont j’ai horreur dans le développement personnel et la philosophie : c’est quand l’auteur ne se sert que de sa tête pour essayer de penser les choses.
Tu sais, comme Freud. À aucun moment il ne se demande si on peut scientifiquement appuyer ses concepts. Pas besoin de faire d’expérience, il a la puissance de son esprit.
Du coup, on a beaucoup de mythes dans le développement personnel. Notamment la Loi de l’Attraction (qui est en fait un remix de la méthode Coué). Ou encore le cliché du si j’ai pu le faire tu peux le faire.
J’ai donc écrit un ouvrage que j’ai essayé d’ancrer dans les avancées des sciences sociales. Principalement les travaux de Brené Brown et Dan Gilbert.
Quand je n’étais pas sûr d’un concept, j’allais voir ce qu’en disaient les sciences sociales. Par exemple, on dit que vaut mieux avoir des remords que des regrets. Mais est-ce vrai ? A priori il n’y a aucune raison. Et bah les sciences sociales ont la réponse. On a mesuré la douleur du regret et la douleur du remord et on a la réponse.
Pourquoi s’en priver ?
On dit si tu visualises un objectif tu as plus de chances d’y arriver. Mais personne ne se demande si c’est vrai ? Est-ce qu’on augmente pas ainsi la probabilité de rester dans la pensée sans jamais agir ? Et bah les sciences sociales ont la réponse. On a mesuré cette probabilité.
On dit il faut vivre dans le présent. Mais est-ce vrai ? Est-ce qu’on n’augmente pas son bonheur en s’échappant dans sa tête pour penser à un futur agréable ? Et bah les sciences sociales ont la réponse. On a mesuré l’impact sur le bonheur de penser au présent.
Et ainsi de suite…
Je ne dis pas que tout ce que je dis dans ce livre est solide scientifiquement. En effet, ce n’est pas parce qu’on essaie de faire de la bonne cuisine qu’on y arrive. D’autant plus que je me suis appuyé sur des personnes qui vulgarisent les recherches et rarement directement sur les recherches.
En revanche je te certifie que j’ai essayé de faire cette cuisine.
Ce livre est surtout pour moi…
J’ai écrit ce que j’aurais voulu savoir au début de ma vie. Mais pas que…
Le fait de “devoir” écrire ce livre m’a aussi obligé à accélérer des apprentissages que j’avais laissé en suspens. Notamment sur la compréhension du bonheur ou ce que disent vraiment les gens sur leur lit de mort.
C’est en écrivant ce livre que j’ai découvert la différence entre plaisir et bonheur et que j’ai décidé de diminuer ma consommation de sucre.
C’est en écrivant ce livre que j’ai compris comment expliquer des principes que j’appliquais sans forcément comprendre pourquoi.
C’est en écrivant ce livre que j’ai découvert que nous n’étions malheureusement pas sur un pied d’égalité en ce qui concerne le bonheur.
Ce qui est dingue c’est que l’écriture du premier jet m’a plongé dans un état d’extase. Vraiment. Au point que je n’avais plus envie de le partager. L’écrire m’avait suffi. Alors que je pensais que j’écrivais pour montrer à d’autres personnes. Là… l’écriture en soi m’a procuré une plénitude.
C’est d’ailleurs probablement pas un hasard si j’ai mis autant de temps à le publier.
Alors que c’est en auto-édition donc je n’avais pas les contraintes de temps d’un éditeur.
Mais bon, si je te le montre c’est bien que…
Ce livre est pour toi…
… si tu as du mal à savourer le moment présent et que le futur t’angoisse
… si tu as du mal à trouver ta voix, perdue dans celles des autres
… si tu as l’impression de ne pas comprendre les leviers qui créent du bonheur
On va passer à une nouvelle ère
À l’origine, l’Atelier devait être au service de ce livre. Sauf que je ne voulais pas spoiler le contenu du livre, alors je me suis interdit de trop partager des concepts qui y figurent.
À partir de maintenant, je vais pouvoir te faire des emails dédiés à des concepts que j’ai découvert et qui m’ont retourné le cerveau.
Les douze principes
Le livre s’articule autour de douze principes. Les voici :
Premier principe : je comprends pourquoi la mort est une boussole
Deuxième principe : je fais des choix difficiles pour simplifier ma vie
Troisième principe : je prends conscience du décalage entre ma perception et la réalité
Quatrième principe : je découvre que je ne suis pas les autres
Cinquième principe : je deviens radicalement honnête
Sixième principe : je dompte la peur pour en faire mon animal de compagnie
Septième principe : je vois que la vie est un escalier mais que je ne vis que sur une seule marche à la fois
Huitième principe : j’accepte mon impuissance à prédire le futur
Neuvième principe : je différencie plaisir et bonheur
Dixième principe : je comprends l’utilité de la souffrance
Onzième principe : je ne suis que ce que je fais
Douzième principe : je triche en permanence
Comme je te le disais plus haut il est…
Disponible en commande sur Amazon et le site de la Fnac :
Tu peux donc le trouver sur Amazon : https://www.amazon.fr/dp/B09KHJ8W48/
Ou sur le site web de la Fnac : https://livre.fnac.com/a16429027/Nicolas-Galita-Tu-vas-mourir-et-tant-mieux
Avant de partir…
On ne peut pas avoir de stats précises de qui achète le livre. L’outil du prestataire est préhistoriques et donne des chiffres à peu près, avec un décalage d’une semaine. C’est très frustrant comparé aux formations où je travaille avec des outils modernes.
Alors hésite pas à me faire un coucou par retour d’email si tu le commandes, ça fait toujours plaisir.
Et puis, quand tu l’auras reçu tu pourras partager la photo sur Instagram et taguer le compte de l’Atelier : @ateliergalita
Enfin… comme tu l’as peut-être deviné, le live que je veux faire c’est pour parler du livre avec vous et répondre à toutes vos questions.
Ce sera vendredi car vous avez été 80% à répondre que vous préférez le vendredi. En revanche les votes sont partagés sur l’horaire : 12h45 ou 18h00. Pour l’instant on a une voix d’avance pour l’horaire de 18h00.
Tu peux encore utiliser l’email d’hier pour voter et faire la différence.
Sur la Fnac !
Commandé sur amazon :)