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Les découvertes de la semaine #2 - 2023

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Les découvertes de la semaine #2 - 2023

Jan 27
6
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Les découvertes de la semaine #2 - 2023

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Dans les découvertes de la semaine je te partage des contenus qui m’ont marqué et je t’explique pourquoi tu devrais les découvrir à ton tour.

[Google Docs] Tes retours positifs sur une psychothérapie

La semaine dernière je t’ai partagé un Google Docs pour témoigner sur des mésaventures avec des psys. C’était ici et vous avez été pas mal à participer. Certains témoignages sont glaçants. Merci pour le courage d’avoir partagé : https://docs.google.com/document/d/1WvM280aO4r7SWk6hFGnDgsL3-qGEiAuAFPJ0iFOw8OQ/edit?usp=sharing

Mais… je trouvais dommage de ne pas avoir aussi les bienfaits. Même si j’avais déjà témoigné sur le sujet ici :

L'Atelier Galita
Ce que la psychothérapie m'a apporté
Voici un retour d’expérience rapide de ce que j’ai observé chez moi suite à la psychothérapie. Ça n’a évidemment pas de valeur scientifique en soi. Voilà donc ce que j’ai observé en vrac La fin de mes épisodes dépressifs Avant la psychothérapie, je faisais des épisodes dépressifs réguliers. Parfois même des troubles dépressifs caractérisés. Toujours aux m…
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6 months ago · 16 likes · 1 comment · Nicolas Galita

Alors j’ai préparé un autre Google Docs pour vous permettre de partager des retours d’expérience positifs.

Sauf que…

J’ai oublié d’ouvrir l’accès !

Quand je m’en suis rendu compte j’étais blasé. Plein de gens sont venus sur le document sans pouvoir le modifier.

J’ai ouvert l’accès dès que j’ai pu mais forcément ça a cassé l’élan. Alors je me suis dit que j’allais repartager. Donc si tu veux témoigner positivement sur une psychothérapie c’est par ici :

https://docs.google.com/document/d/1GmKPgWukFSr5AsaUOpXDZcyzpF_v_6VoLW5t854FoAg/edit?usp=sharing

[Article] La thérapie ne guérit pas

Comment je suis tombé sur cet article ?

Emma, en a parlé dans le groupe whatsapp premium :

En tous cas, tes mails sur la thérapie m'ont inspirée, mes deux mails de la semaine portent sur le sujet (sous un autre angle) 🤭

Les 3 choses que j’en retiens

#1 | Les kinés peuvent être de bonnes passerelles.

On me l’avait dit lors de ma formation aux premiers secours en santé mentale mais je n’avais jamais eu d’exemple concret. Ici on a vraiment ce rôle de passerelle :

Ma première thérapie date d’il y a environ 7 ans, avec une kinésithérapeute spécialisée entre le lien corps/esprit (à Paris). C’était mon premier pied timide dans l’eau de la thérapie psy.

Puis, après notre déménagement à Caen, j’ai commencé un nouveau suivi avec une excellente psychologue spécialisée dans le trauma et le deuil.

#2 | Le parallèle entre la psychothérapie et découvrir un nouveau mot.

Quand on connaît un mot depuis longtemps, son sens, son utilisation, qu’on ne se pose pas de questions dessus, et puis que tout à coup, son étymologie apparaît sous un nouveau jour et qu’on se dit : mais bien sûr ! Comment n’ai-je pas pu le voir plus tôt ? Et pourtant, je le savais, d’une façon ou d’une autre, sans l’avoir énoncé !

C’est effectivement une très bonne analogie de la psychothérapie. Les choses que l’on découvre juste en disant. Mais sans rien dire de nouveau. J’y ai raconté mon enfance, je n’ai pas découvert de souvenirs. J’ai juste raconté tout, face à une écoute. Et ça m’a amené à comprendre que ce n’était pas normal de se faire frapper enfant.

#3 | Il existe quelque chose qu’on appelle les intérêts spécifiques

C’est juste mentionné dans le texte mais je l’ignorais totalement. Voilà la définition que j’ai trouvée :

Une préoccupation pour un ou plusieurs centres d’intérêts anormaux dans leur définition ou leur intensité (par exemple, attachement fort à des objets inhabituels ou préoccupation pour ceux-ci, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).

Les centres d’intérêts anormaux dans leur définition font référence à des passions jugées peu communes ou peu utiles, comme par exemple connaitre et collectionner tous les types de piles qui existent ou connaitre tous les horaires des bus d’une ville.

Les centres d’intérêts anormaux dans leur intensité font plus référence au temps important consacré à cet intérêt, sans que celui-ci paraisse anormal dans sa définition, par exemple un enfant autiste qui se passionne pour les chats. Les chats sont des sujets d’intérêts classiques pour les enfants, par contre c’est le temps qui y sera consacré qui sera considéré comme hors de la norme.

Quelques récentes études ont démontrées que les garçons et les hommes sont plus enclins à avoir des intérêts spécifiques anormaux dans leur définition alors que les filles et les femmes ont des intérêts spécifiques “moins anormaux” dans leur définition mais y consacrent un temps conséquent

Pourquoi tu devrais la découvrir à ton tour ?

Parce que la conclusion est intéressante. Je t’ai volontairement pris uniquement des passages du début pour ne pas tout te spoiler. C’est par ici :

L'Emmaginarium
La thérapie ne guérit pas
Temps de lecture : 3 minutes Avez-vous déjà vécu ce moment très étrange ? Quand on connaît un mot depuis longtemps, son sens, son utilisation, qu’on ne se pose pas de questions dessus, et puis que tout à coup, son étymologie apparaît sous un nouveau jour et qu’on se dit …
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2 months ago · 7 likes · 4 comments · Emma

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