Au moment où j’écris vous êtes bientôt 300. Ça va être compliqué d’atteindre les 500 mais en vrai c’est possible. Sur des semaines de ventes de formation, j’ai déjà vendu 30 formations sur les dernières heures alors que y’avait eu genre 40 ventes toute la semaine.
Donc voilà, le moment c’est maintenant. Si tu veux bénéficier de ma formation à la pédagogie gratuite et déclencher le lancement de ma newsletter sur la pédagogie il te suffit de t’inscrire en laissant ton email avant 23h59. Après c’est trop tard :
J’en profite pour te dire un dernier truc.
Enseigner c’est la meilleure manière de comprendre
Tant que tu n’essaies pas d’expliquer à quelqu’un ce que tu sais, tu ne le sais pas vraiment profondément.
Mais le problème c’est que c’est indolore. Tant que tu n’as pas essayé d’expliquer tu as la sensation de comprendre.
Ça m’arrive à chaque fois que je veux raconter un livre que j’ai adoré. Je commence et je me rends compte que je n’y arrive absolument pas !
Tu vas saisir tes propres zones floues
En essayant d’expliquer et en butant sur des endroits ça révèlera automatiquement tes propres points morts.
Et tu vas les effacer, parce que tu n’auras pas le choix si tu veux finir ton propos la prochaine fois.
Les questions des autres vont te faire comprendre des angles que tu n’avais pas
On m’a donné un secret un jour : la question la plus récurrente que tes élèves te posent c’est en réalité ton angle mort le plus grand.
Ça a changé toute ma pratique pédagogique. Avant je me disais mais pourquoi les gens posent toujours cette question !
Et tu peux rester des années dans cet état, car ça arrive toujours sur un point que tu penses maîtriser. Les choses que vraiment tu ne maîtrises pas, tu auras moins d’élèves qui insistent.
Moi par exemple dans mes cours de recrutement j’enseignais quelque chose de faux sur les message d’approche. Ou plutôt quelque chose d’incomplet : il faut personnaliser.
Alors que la bonne notion c’est il faut mettre de l’empathie.
Du coup j’avais en permanence des questions sur ce point, voire des débats.
Puis un jour on m’a dit le secret que je viens de te partager et j’ai compris qu’en fait c’était mon propre point mort.
Voilà. Cette fois-ci c’est vraiment la dernière fois que je te le dis. Si tu veux profiter de ma formation gratuite sur la pédagogie et m’aider à lancer une newsletter sur le sujet, c’est par ici :