Quand Internet est arrivé on nous promettait une révolution de la connaissance. J’avais environ 9 ans quand on parlait des autoroutes de l’information.
On disait que l’école ne servirait plus à rien puisque tout l’information serait accessible facilement et gratuitement.
D’ailleurs, on le dit encore.
Un professeur d’Ivy League a esquissé une “vision séduisante pour le futur de l’éducation supérieur, dans lequel il n’y aurait ni manuel, ni campus”.
Tout partirait d’une idée simple : les professeurs pourraient, dans leurs salles de classe, assurer un cours pendant que, simultanément, des centaines de milliers de personnes pourraient le suivre sans avoir à quitter leur maison. “La nation est devenu le nouveau campus”, dit un observateur.
Un journaliste allait plus loin “la salle de classe sera abolie et l’enfant du futur sera abreuvé de connaissance alors qu’il sera assis chez lui, ou même en marchant dans la rue.”
Pendant ce temps, les universités se précipitent pour offrir des cours utilisant ces nouvelles technologies et plateformes. Les investisseurs déversent de l’argent dans des entreprises d’éducation.
Tu as déjà entendu un propos du genre, non ? Sauf que…
Les citations que tu viens de lire ont 100 ans
Oui. 100 ans. Ce sont les débats qui ont émergé quand la radio est arrivée. Cocasse, non ? On croirait entendre les débats sur les MOOC et autres formations en ligne.
Le premier cours à distance a été donné en 1724, par courrier. Mais il aura fallu attendre les années 40 pour avoir un vrai enseignement à distance, durable et suivi.
Pas 1940, hein ? Les années 1840.
Le premier cours d'enseignement à distance au sens moderne a été réalisé par Isaac Pitman aux alentours de 1840. Il consistait à enseigner un système de sténographie en envoyant des textes transcrits en sténographie sur des cartes postales et en recevant des transcriptions de la part de ses étudiants en contrepartie de la correction. Le facteur de rétroaction (feedback) avec les étudiants a constitué une innovation cruciale dans le système de Pitman. Ce système d'enseignement à distance a été rendu possible grâce à l'introduction de taux d'affranchissement uniformes en Angleterre en 1840.
Mais revenons à la radio, cette technologie qui devait révolutionner l’enseignement.
Entre 1920 et 1938, plus de deux cents lycées et de nombreuses universités ont postulé pour obtenir des licences fédérales de radiodiffusion. La radio était une technologie nouvelle et enthousiasmante qui permettrait aux professeurs de transmettre de l’information à des étudiants sur des milliers de kilomètres. Dans les faits, ça pourrait offrir “une éducation universitaire à quiconque la voudrait”. L’université de New York a créé sa radio en 1922. Columbia, l’université Tufts, UW-Madison et Harvard firent de même.
Il ne suffit pas d’avoir accès à l’information pour la structurer en connaissance
En fait, ni la radio, ni internet ne changent magiquement la loi la plus cruelle de l’éducation : il ne suffit pas de déverser de l’information sur une personne pour qu’elle apprenne.
De combien de dates te rappelles-tu de tes cours d’histoire ? Si tu les as apprises par coeur sans structure, probablement plus aucune.
Pour retenir efficacement les dates il faut que tu comprennes le lien entre elles.
Par exemple, comment la révolution de 1789 débouche sur Napoléon vers 1800 (j’aurais dit 1802 de tête), puis comment Napoléon I débouche sur Napoléon III vers 1850… ce qui va entraîner la France dans un conflit avec l’ancêtre de l’Allemagne vers 1870 qui va s’emparer de l’Alsace. Cette dispute territoriale sera un des enjeux de la première guerre mondiale. Puis, l’humiliation de l’Allemagne par le traité de Versailles sèmera les germes de la seconde. Pendant la seconde l’URSS émerge comme la plus grande puissance du continent et étend son emprise, ce qui déclenche une cascade d’événements qu’on appelle la guerre froide.
Je ne me rappelle plus de toutes les dates, mais je sais comment elles sont liées. J’aurais pu commencer à Louis XIV et l’absolutisme qui sera l’apogée d’une monarchie sur le point de s’effondrer. Je ne sais pas quand exactement, mais je sais que c’est après 1515 (bataille de Marignan) et que c’est forcément avant 1750.
Ça fait une marge de plus de 200 ans. C’est énorme. On ne peut pas dire que je connaisse la date. Mais je connais les logiques, c’est bien plus important.
Mais il y a un graphique qui explique ça bien mieux. À gauche l’information, à droite la connaissance :
Sans compter que TOUT est en accès illimité. Pas que l’information.
L’autre piège dans lequel on tombe c’est d’oublier qu’Internet met tout plus facilement à disposition. Pas seulement la connaissance. Le divertissement aussi.
Les films, les séries, les vidéos de chat, les jeux, le porno… tout est plus facilement accessible.
Mais ne compte pas sur moi pour pester contre Netflix et t’expliquer que les jeunes de nos jours ne lisent plus assez de classiques de la littérature. Vive la culture, peu importe la forme. Vive les séries, vive le rap, vive les mangas.
Non, je vais pester contre ce qu’on appelle ironiquement “les informations”. Or, comme je te l’ai déjà démontré l’année dernière : les informations sont nocives pour la santé mentale.
“Les actualités déclenchent constamment le système limbique. Les histoires qui font peur activent la libération de cascade de glucocorticoïde (cortisol). Cela dérègle votre système immunitaire et inhibe la diffusion des hormones de croissance.
En d’autres termes, votre corps se trouve dans un état de stress chronique. De haut taux de glucocorticoïde causent des problèmes de digestion, des problèmes de croissance (cellules, cheveux, système osseux), de la nervosité et une plus grande vulnérabilité face aux infections virales.
Les consommateurs d’actualités prennent le risque d’altérer leur santé physique. Les autres effets secondaires potentiels des actualités incluent la peur, l’agressivité, une vision tunnel et une insensibilisation.”
Mais comment on est arrivés là ?
La catastrophe du modèle du gratuit
Internet a été créé par des idéalistes. Des personnes qui avaient un projet magnifique. Une philosophie qu’on retrouve encore dans Wikipédia par exemple. Tu te rends compte que l’encyclopédie la plus grande et la plus fiable de l’humanité est gratuite et décentralisée ?
Et bien le projet des fondateurs du web c’était ça, partout. On allait abolir les injustices en rendant l’information gratuite.
Sauf que le web a rapidement été rempli d’entreprises capitalistes. Or, le plus souvent, une entreprise gagne son duel contre une association de bénévoles. Voilà pourquoi Linux n’a jamais été adopté massivement. À l’inverse de Windows.
Les entreprises du web se sont demandées comment faire un revenu sans demander d’argent aux visiteurs. La réponse tu la connais probablement : la publicité. Du coup, les entreprises de presse ont fait des versions en ligne, financées par la publicité. Elles n’ont pas été les seules.
Google est financé par la publicité. Facebook aussi.
Or, Facebook a été une catastrophe pour la presse. Depuis son arrivée, la presse a perdu 71% de ses revenus. Tu imagines ? C’est comme si tu passais d’un salaire de 1000€ à un salaire de 290€. Ou d’un salaire de 2000€ à un salaire de 580€.
Il a donc fallu licencier à tour de bras les équipes les moins rentable. Pas de chance : le journalisme d’investigation patient et minutieux est beaucoup moins rentable que le journalisme à sensation.
Sans compter que le contenu de Facebook est produit par les utilisateurs. Ils n’ont donc pas la même éthique qu’un journaliste. Ils peuvent partager des articles complotistes sans rendre compte à une rédaction.
En réaction… la presse a vendu son âme au diable, pour ne pas perdre ses revenus publicitaires. Elle n’a pas eu grand choix. Les journaux qui ont refusé ont quasiment tous disparu.
Tout ça c’est de la faute de qui ? Facebook ? Mouais. Si je te dis que Facebook devient payant, tu réagis comment ?
D’ailleurs c’était notre plus grande peur au début, tu te rappelles ? Y’avait des chaînes qui disaient que Facebook allait devenir payant si tu copiais pas le message.
Si je résume… on avait peur d’un jour payer pour un service qu’on utilisait tous les jours. Quand on y pense, c’est dingue, non ?
Financer le contenu par la publicité est une catastrophe pour la société
Conséquence : on a pris l’habitude d’avoir du contenu financé par la publicité. Mais on se tire une balle dans le pied.
L’impact de ce système sur notre santé mental est vraiment désastreux. Cet après-midi quelqu’un m’a écrit (et je te jure que je n’invente pas pour les besoins de ma démonstration) :
J’ai pleuré en regardant le JT de 13 heures, c’était chaud
Mais ce n’est pas normal. Le journalisme devrait nous permettre de prendre du recul, de nous élever intellectuellement. On devrait ressentir de l’épanouissement. À la place il nous fait ressentir de la colère ou de la tristesse. Pourquoi ? Parce que les publicités fonctionnent mieux quand la partie de ton cerveau qui s’appelle l’amygdale est active.
L’angoisse entrave l’esprit critique et crée un besoin de consommer : quand on se sent menacé on veut consommer. Plus nous sommes stressés, plus nous nous tournons vers le sucre et les féculents, le sucré et le gras.
Ce n’est pas un accident : c’est fait exprès. Je n’exagère pas, je ne cherche pas de complot : le PDG de TF1 ne s’en cachait pas.
Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective business, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. Or, pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible.
Se plaindre n’est pas une solution
Bien sûr, ce n’est pas en se plaignant qu’on va changer les choses. Je ne vais pas t’enfermer dans un désespoir et un sentiment d’impuissance. Car je n’ai pas de publicité à te faire consommer.
J’ai donc une proposition pour contrer tout ça. Une goutte d’eau dans l’océan, mais si tout le monde donne un peu du sien, je pense qu’on peut renverser le cercle vicieux.
D’autant plus que je ne suis pas seul : je suis dans un écosystème financé par certains des plus grands fonds d’investissement de la Silicon Valley.
L’outil que j’utilise pour t’écrire (Substack) a été créé en réaction à ce constat, par un entrepreneur, un développeur et … un ancien journaliste.
Ils écrivent d’ailleurs :
Les grands totems journalistiques du siècle dernier sont en train de mourir. Les organismes de presse – et d’autres entités qui se font passer pour eux – se tournent vers des mesures de plus en plus désespérées pour survivre. Nous avons donc des fermes de contenu, des clickbait, des listes à n’en plus finir, des débats ineptes mais viraux sur les illusions d’optique, et une épidémie de « fake news ». Tout aussi dommageable est le fait que, aux yeux des consommateurs, le contenu journalistique a perdu une grande partie de sa valeur perçue, surtout lorsqu’il est mesuré en dollars.
Il est facile de se sentir découragé par ces évolutions désastreuses, mais dans chaque crise, il y a une opportunité. Nous pensons que le contenu journalistique a une valeur intrinsèque et qu’il n’est pas nécessaire de le donner gratuitement. Nous pensons que ce que vous lisez est important. Et nous croyons qu’il n’y a jamais eu de meilleur moment pour soutenir et protéger ces idéaux.
L’Atelier Galita est donc ma réponse à ce problème
Si tu reçois cet email c’est que tu en fais partie. Pour commencer : merci. Je n’ai jamais autant aimé un de mes projets. J’aimais mon blog Dessine-Toi un Emploi. Mais pas à ce point.
Sur l’Atelier, je suis vraiment aligné avec mes croyances fondamentales : proposer l’inverse des actualités. Les actualités sont de la junk food : tu as l’impression que ça te nourrit et que ça te fait plaisir. Mais en vrai ça dégrade ta santé.
L’Atelier c’est de la nourriture saine : mon objectif sera toujours de te fournir quelque chose d’épanouissant, d’utile et d’intemporel. Par opposition au contenu angoissant, inutile et éphémère des actualités. Bien entendu, ça ne veut pas dire que ça sera toujours bien. On peut faire une salade ratée et un burger réussi. Mais en tout cas, ce que je propose sera toujours l’équivalent d’une salade.
Pour y arriver, je n’ai pas le choix : il faut que je monétise autrement que par la publicité.
Ne pas monétiser n’est pas une option. J’ai déjà essayé : on finit par perdre la motivation et on sacrifie le projet au moindre coup de vent. Par exemple, quand j’étais surchargé au travail, je ne travaillais plus autant sur Dessine-Toi un Emploi. Alors que, l’Atelier Galita représente un tiers de mes revenus. Donc, même quand je suis surchargé dans mon job, je ne sacrifie pas l’Atelier. Même s’il faut m’y mettre tout le weekend.
Je travaille environ 25 heures par semaine sur l’Atelier (majoritairement le soir et les weekends). Sans monétisation, impossible de tenir un an comme ça.
Comment faire alors ? Si on monétise pas par la publicité et qu’on veut quand même monétiser ?
L’Atelier Premium : le meilleur des deux mondes
Pour ce faire, je propose une formule premium. Je trouve que le business model qu’on appelle Freemium et le meilleur compromis. Le freemium c’est quand un acteur se rémunère avec une petite partie des utilisateurs (généralement environ 10%) qui paient des fonctionnalités avancées. Alors que l’immense majorité des utilisateurs (environ 90%) profitent d’un produit gratuit.
Je déteste les faux freemium. Quand, en réalité, le produit gratuit est nul et ne sert que de cheval de Troie pour le payant.
Je n’aime pas non plus le freemium où le produit gratuit est bien mais avec un énorme écart comparé au payant. Parce que ça veut dire que la majorité des gens ne le verront jamais. J’aime bien l’idée que la majorité de mon travail reste gratuit.
Égoïstement parce que ça me permet d’augmenter mon public qui achète des formations. Mais aussi parce que, philosophiquement, j’aime bien l’idée initiale de web de démocratiser la connaissance.
J’ai donc créé l’Atelier Premium. Il y a maintenant un an.
Pour fêter ça, je te propose une offre de bienvenue : pour tout abonnement annuel à l’Atelier Premium, je t’offre une formation de mon catalogue de ton choix. En prime, tu profites du tarif actuel pour la dernière fois puisque vendredi à 23h59 je vais passer au nouveaux tarifs.
Pour en profiter il faut donc t’abonner avant ce vendredi soir.
Grâce à l’Atelier Premium tu…
Tu…
Tu sais quoi ? Plutôt que de te le dire moi-même, je vais laisser la parole aux premium. Je leur ai demandé. Voilà un florilège des réponses :
“Je pense que c'est tout simplement pour te soutenir. Un contenu d'une telle qualité, diversifié, quotidien, ça a une valeur non négligeable (et je pense que tu es la personne qui m'a le plus amené à revoir ma vision sur certains sujets comme le racisme ou le polyamour).
Sachant que les nano-pensées sont le format que j'aime clairement le moins, ce n'est pas vraiment pour les emails du weekend que je suis en premium.” - Antoine
“Je suis Premium pour encourager un auteur que je trouve rafraîchissant et qui m'offre beaucoup de nouveau pistes de pensées. Donc, pour moi être Premium est une façon de te remercier pour ton travail.
Ce que j'apprécie beaucoup est la réduction du prix des formations pour les Premiums. C'est vraiment génial de nous remercier pour notre fidélité.” - Martina
“Pour être honnête, je suis premium pour bénéficier de tes formations à prix réduits. Ensuite, j'aime le contenu de tes mails en général ;)” - Thibaud
“Pareil, je souhaite encourage ton œuvre dans son ensemble. Je suis moins connectée le week-end donc c’est pas tant pour les mails du week-end qu’au global.
J’ai profité aussi de reduc formations ce qui n’est pas rien :)” - La Reuch
“La première fois j'ai pris l'abonnement premium pour le tarif réduit et je l'ai gardé car au final j'ai achetée toutes les formation. Ensuite, j'aime l'idée de te soutenir. J'aime bien le format des tweets de la semaine. J'accroche moins au format du dimanche. Je ne regarde pas mes mails le weekend aussi.” - Mélanie
Plus en détails, tu gagnes quoi en souscrivant à l’Atelier Premium ?
Avec les retours des membres premium tu dois avoir une idée mais voici une liste plus précise :
Avoir les formations deux fois moins chères
La satisfaction de faire partie des soutiens qui permettent aux autres d’avoir le reste gratuitement
Un groupe Whatsapp privé avec uniquement les membres premium où je partage mes coulisses et du contenu en plus
L’email du samedi : Les tweets de la semaine
L’email du dimanche : Les Nano-Pensées ou Les lectures du mois
Des exclusivités en avant-première
La possibilité de commenter tous les posts, même quand c’est pas une discussion ouverte
Un tarif préservé tant que tu ne te désabonnes pas
Les archives complètes des emails premium précédents
1) Avoir les formations deux fois moins chères
Au moment où j’écris, j’ai créé 10 formations en 10 mois. Le tarif de lancement était de 39€. Mais pour les premium c’était 19€.
Tu rentabilises donc l’abonnement premium au bout de 4 formations achetées
Bascule maintenant pour ne pas le regretter. Certaines personnes se disent à chaque fois qu’elles ne veulent pas pour ne pas avoir un engagement récurrent, mais au final ont acheté toutes les formations. Elles auraient donc pu économiser plus de 130€ sur l’année.
2) La satisfaction de faire partie des soutiens qui permettent aux autres d’avoir le reste gratuitement
Passer en premium permet de montrer que tu soutiens le projet
Sans toi, j’aurais plus de mal à proposer une expérience aussi bonne en gratuit
Ça te permet de financer un modèle non-toxique pour ta santé mentale
3) Un groupe Whatsapp privé avec uniquement les membres premium où je partage mes coulisses et du contenu en plus
Tu feras partie d’une communauté engagée qui débat en permanence de sujets de société
Tu auras des contenus exclusifs comme des résumés d’articles et des bonus que je n’ai pas mis dans les emails
Tu contribues aux nouvelles idées pour l’Atelier
4) L’email du samedi : Les tweets de la semaine
Un ami m’a demandé : “Est ce que y’a une appli qui donne les informations que je dois vraiment savoir pour pas être trop coupé du monde une fois que je coupe Facebook et que je ne regarde pas de télé ?”
Je lui ai dit de suivre Hugo Décrypte ou… Les Tweets de la semaine.
Ce à quoi il a répondu “Mais c’est chelou je suis abonné mais j’avais jamais remarqué que tu faisais ça...”
Chaque samedi tu auras un résumé des actualités qui m’ont marqué et sur lesquelles j’essaie de prendre du recul
Ça te garantit que tu as des découvertes de la semaine, même quand il n’y a pas de découvertes de la semaine, le vendredi
Tu comprendras d’où me viennent certaines réflexions : Twitter est un laboratoire militant
5) L’email du dimanche : Les Nano-Pensées ou Les lectures du mois
Le dimanche est plus variable. Mais je pense que les deux formats les plus récurrents seront les nano-pensées et les lectures du mois.
Les Nano-Pensées c’est de la poésie. C’est l’Atelier dans l’Atelier : mes expérimentations d’écriture
Les lectures du mois… c’est le résumé de ce que j’ai lu et la note
6) Des exclusivités
Cette année il y a eu :
Mon article sur Martin Luther King, 3 jours avant sa publication
Mon Standup, 3 mois avant que je l’envoie à tout le monde
La version web, gratuite, de mon livre qui n’est pas encore sorti
7) La possibilité de commenter tous les posts, même quand c’est pas une discussion ouverte
Dans le modèle de Substack il a été décidé de ne pas ouvrir les commentaires. Pour éviter les travers de Facebook. Au début j’étais dubitatif, mais finalement je confirme que c’est mieux.
Mais si tu es premium tu peux commenter
Je réponds à tous les commentaires premium (ce qui n’est pas le cas si tu me réponds par email car ma boîte est un champ de bataille)
8) Un tarif préservé tant que tu ne te désabonnes pas
Le tarif que tu paies est toujours le même, peu importe que je l’augmente pour les futures nouvelles personnes
Les premium qui ont rejoint la toute première offre, ont une réduction de quasiment 60% par rapport au nouveau tarif
Tant qu’ils renouvellent, ils gardent ce tarif, ils ne subissent pas les augmentations successives
9) Les archives complètes des emails premium précédents
Tu as raté un an d’emails premium mais tu peux les retrouver à tout moment sur le blog
Devenir premium te permet donc de recevoir les prochains mais aussi d’aller lire tous les précédents
Combien ça coûte ?
Si tu souscris à un abonnement annuel avant vendredi soir tu l’auras pour 69,99€. Sachant, qu’après ça, le tarif passe à 99,99€.
Sans compter la formation offerte que tu aurais eu pour 39,00€ au prix de lancement (ou 79/109€ hors lancement).
Tu économises donc 69,00€ par rapport à un achat au lancement. Et entre 109,00€ et 139,00€ par rapport à un achat hors lancement.
Comment y accéder ?
Tu n’as rien à faire à part cliquer sur le bouton ci-dessous pour y accéder. À partir du moment où tu souscris à l’offre premium tu recevras les emails du weekend. Tu n’as rien de plus à faire. Et, mieux encore, tu peux accéder à tout l’historique des emails premium. Il te suffit de taper “Atelier Galita” dans Google et d’aller sur les posts avec un cadenas. On te demande de t’identifier et le tour est joué.
Pour accéder à la formation de mon catalogue offerte avec un abonnement annuel, tu devras attendre ce weekend : j’enverrai un email aux premium avec un accès gratuit à une formation au choix.
Attention, cette formation est ouverte uniquement si tu as pris un abonnement annuel !
Tu hésites…
Si tu lis encore c’est que tu hésites sur quelque chose
Pourquoi payer alors que le mieux est en gratuit ?
Bonne question. Mais si tout le monde se dit ça, on ferme boutique. C’est comme sur Wikipédia. J’ai fini par payer Wikipédia en me disant que ça me faisait plaisir de contribuer à leur existence. Vois-le comme un soutien. Mais, au-delà du soutien, tu as surtout les moitié prix sur les formations. Ce qui peut te permettre d’en essayer une alors que tu ne l’aurais peut-être pas fait sinon. Certaines personnes ont commencé comme ça, puis ont pris les 10.
Tu as peur de ne pas aimer
Ah bah ça… c’est comme tout. Je ne peux pas te garantir que tu aimeras les emails du weekend, si tu ne viens que pour ça.
Tu n’aimes pas les abonnements
Je comprends. En vrai c’est le frein numéro un. Moi-même je suis réticent parfois. En tout cas, tu pourras toujours m’écrire si tu oublies d’annuler ton abonnement. C’est pas le genre de la maison que de taxer des personnes qui ne veulent plus vraiment profiter du service.
J’ai fini…
J’ai tout dit. Je n’ai plus rien à rajouter. Mais tu es encore là ? Peut-être fais-tu partie des gens qui lisent toujours tout minutieusement. Mais peut-être attends tu simplement la traditionnelle anecdote inutile de fin.
La voici :
Vos lèvres ne se touchent pas quand vous dites “toucher”, mais elles se touchent quand vous dites “séparer”
C’est tout pour moi. Je te dis à tout de suite :
Avec un tel argumentaire je serais passé premium si je ne l'étais pas déjà ! :)