Je ne VOLE pas ton attention
La ligne éditoriale de l’Atelier ça a toujours été de te fournir un contenu qui soit l’inverse des actualités : utile, épanouissant et durable.
Attention, ça ne veut pas dire que j’y arrive tout le temps. En revanche ça veut dire que c’est mon but.
De la même manière que je pourrais te dire que le restaurant Atelier a pour but de te fournir de la nourriture à l’inverse de la junk food de McDo : saine, écologique et avec un goût sophistiqué.
Pour autant, y’a des soirs où je pourrais rater un plat. Ça ne deviendra pas de la junk food pour autant. Là c’est pareil.
Cette promesse que je te fais est égoïste : elle me force, moi aussi, à consommer du contenu hors actualité si je veux t’en produire à mon tour.
La publicité est toxique
On en a déjà parlé mais la publicité est particulièrement toxique pour le contenu. Ça pousse à faire des choses au détriment de la santé mentale de l’audience.
Ça pousse à faire un contenu qui débouche sur ce qu’on appelle le syndrome du grand méchant monde
“De 1995 à 2008, le focus sur les victimes, les agressions, les viols, la délinquance, les catastrophes, a quadruplé à la télévision française, sans que les faits en question ne quadruplent”
D’ailleurs on adore accuser les applications du fait que les gens ne liraient plus. Mais on sous-estime le rôle des actualités là-dedans :
Les actualités nous reprogramment. C’est-à-dire que notre cerveau continue à fonctionner différemment, même quand nous ne regardons plus les actualités. Et c’est dangereux.
Plus nous consommons d’actualités et plus nous musclons les circuits neuronaux dédiés à la lecture en diagonale et au multitâche. Dans le même temps, nous laissons se ramollir les circuits neuronaux dédiés à la lecture profonde et à l’analyse. La plupart des consommateurs d’actualités, même s’ils ont été d’anciens grands lecteurs de livres, ont perdu leur capacité à lire de longs articles ou des livres. Après 4 ou 5 pages, ils se sentent fatigués, leur concentration s’évanouit et ils s’agitent.
Ce n’est pas parce qu’ils vieillissent ou que leur agenda est plus chargé. C’est parce que la structure physique même de leur cerveau a été modifiée. Nous entraînons nos cerveaux à focaliser leur attention sur des cochonneries
Et ça… bah ça arrange les publicitaires :
L’angoisse entrave l’esprit critique et crée un besoin de consommer : quand on se sent menacé on veut consommer. Plus nous sommes stressés, plus nous nous tournons vers le sucre et les féculents, le sucré et le gras.
Moi ce qui m’arrange c’est au contraire que tu aies l’envie de t’épanouir
Je crois énormément à l’épanouissement par la formation, l’apprentissage. Ce n’est pas pour rien si je suis devenu double formateur (puisque je suis formateur en recrutement dans mon CDI, et formateur ici sur l’Atelier).
Par conséquent, si je veux te vendre des formations j’ai intérêt à te mettre dans un état propice à ça : donc une soif d’apprendre.
Contrairement à ce qu’il se passe dans le gratuit : je suis un vendeur et tu es mon client. Je suis un vendeur et tu es ma cliente.
Alors bien sûr ça ne garantit absolument pas la qualité du produit, mais ça y met une incitation positive.
Voilà pourquoi le contenu gratuit, qui sert effectivement à t’encourager à prendre le payant un jour vise à te donner la soif d’apprendre. À t’extirper du flot horrible des actualités pour te mettre dans celui de l’apprentissage.
Les abonnements c'est chiant, mais...
Je sais qu’un des principaux obstacles à l’abonnement premium c’est précisément que c’est un abonnement. Déjà parce que vous me l’avez dit dans les sondages, mais aussi parce que je me reconnais totalement : je préfère payer plus cher que m’abonner. Parce que je sais que j’oublie toujours de me désabonner.
Ceci étant dit, laisse-moi te raconter l’histoire de la carte avantage SNCF.
J’ai une amie à qui on dit depuis des lustres : toi qui aime faire des économies, je ne comprends pas pourquoi tu ne prends pas la carte avantage.
Sauf que c’est 49€ et qu’elle ne prend pas le train tant que ça.
Puis, récemment, elle a fini par la prendre et, à sa grande surprise, elle avait déjà quasiment remboursé toute la carte en un trajet.
Bon… j’imagine que tu avais déjà entendu pareille histoire. Mais pourquoi ça continue à surprendre ? Parce qu’on se dit que l’entreprise n’a pas d’intérêt à te faire ce genre de cadeau. Pourquoi diable ferait-elle ça ?
La réponse est simple : un tiens vaux mieux que deux tu l’auras.
Ce type de revenu est prévisible, récurrent et rassurant.
Bon bah tu vois où je veux en venir…
80% du revenu de l’Atelier provient directement des formations et seulement 20% de l’abonnement. L’abonnement premium n’est donc pas une question de vie ou de mort financière.
En revanche, l’abonnement constitue 100% de mes revenus des vacances d’été par exemple… ou alors 50% des revenus de mon année où j’avais quasiment pas vendu de formations.
En d’autres termes, les abonnements sont mon assurance.
Et si tu veux y participer, ils sont en promo spéciale jusqu’à demain :
Soit tu prends le mensuel à 6,99€ au lieu de 8,99€
Soit tu prends l’annuel à 79€ avec une formation gratuite offerte dans la foulée
C’est par ici :