L’Atelier Galita : un email anti-zombie chaque matin à 09h00
Plutôt que de scroller sans fin au réveil, ouvre un email utile, intemporel et épanouissant pour commencer ta journée du bon pied
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D’ailleurs…ils en disent quoi ?
“Ton mail du matin, c’est la petite gourmandise de la journée avec les calories en moins et ça c’est génial ! - Jean-Michel”
“Tu te lèves le matin avec une friandise pour ton cerveau. Ça te met bien. C’est un peu comme faire son lit. T’as même pas commencé ta journée que t’as déjà accompli quelque chose” - Nina
”Tu ne te contentes pas d’énoncer des choses…tu écris des phrases sensées. Tu interpelles, tu fais réfléchir. Et au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, ça ne se trouve pas à tous les coins d’internet !” - Rachel
Ça ne te suffit pas pour t’inscrire ? Tu veux en savoir plus ? Très bien. Je vais te raconter une histoire. Ton histoire.
La première chose que tu fais le matin c’est d’attraper ton téléphone pour regarder les actualités ou les réseaux sociaux…
Ton téléphone sonne. Tu l’éteins. Mais tu l’as dans la main. Tu ne peux pas t’empêcher…
Tu ouvres les réseaux sociaux ou, pire encore, les actualités. Tu commences à t’anesthésier, à zoner.
Le temps passe. Tu ne t’en rends même pas compte.
Tu scrolles, tu scrolles, tu scrolles.
Tu scrolles.
Tu scrolles.
Tu…
…scrolles.
5 minutes passent. 10 minutes passent. 15 minutes passent. 30 minutes passent.
Soudainement tu réalises que tu as perdu ton temps.
Tu n’étais même pas dans l’ennui. Mais tu n’étais pas dans l’excitation non plus. Tu étais dans un état paradoxal intermédiaire : l’état zombie. Ni mort, ni vivant.
Le découragement t’envahit. Tu as envie de te recoucher. Pire encore, tu fais peut-être partie de ces personnes qui s’infligent le supplice moderne de la fonction “snooze” de l’alarme.
Résultat ? Tu n’as même pas commencé ta journée que tu as déjà diminué ton énergie.
Tu n’as même pas commencé que tu ressens une pointe d’angoisse. Tu n’as même pas commencé que tu culpabilises légèrement. Tu te dis que demain tu feras mieux. Tu sors péniblement de ton lit, comme un zombie.
Comment font ces gens qui arrivent à lire des livres inspirants au lieu d’être sur leur téléphone ?
Comment ça se fait que toi tu te jures que tu feras mieux demain. De temps en temps tu y arrives. Mais tu finis toujours par retomber dans ce cercle de l’apathie. Cette spirale du scroll.
Le problème c’est que ce n’est pas gratuit…
Tu diminues ton estime de toi-même
En cédant à chaque fois, ton estime de toi diminue de manière imperceptible. Tu te sens tout mou. Tu te sens toute molle.
Pire encore, ça se répercute sur le reste de ta journée.
Tu n’as pas juste perdu les 15-30 minutes de scroll dans ton lit. Tu as perdu en énergie globale. Donc toute la journée tu vas subir les effets de cette baisse.
Tu vas finir par penser que tu ES quelqu’un de mou le matin. Tu vas finir par accepter l’idée qu’il est normal de dire “ça va comme un lundi”. Ou alors “tant que j’ai pas mon café ne me parle pas”.
J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle.
La bonne ? Ce n’est pas de ta faute : les ingénieurs de Facebook, Instagram, Snapchat ont mis toute leur matière grise au service d’un seul but : rendre leur produit addictif.
Ce n’est pas une théorie du complot.
Ce n’est même pas un secret. C’est expliqué dans un livre vendu à des centaines de milliers d’exemplaires : Hook.
La mauvaise nouvelle ? Tu perdras toujours le combat.
Toujours. Enfin…parfois tu le gagneras. Mais le plus souvent tu perdras. Ils utilisent des failles codées dans l’esprit humain depuis des millénaires. Des biais cognitifs.
Certaines personnes arrivent à contrer le mécanisme
Moi-même j’y arrive. En me disciplinant. Parfois pendant une semaine entière. Je me réveille et je commence par lire un livre. J’ai même déjà réussi pendant un mois. Mais ensuite…je rechute. C’est un combat permanent.
Mais il y a une solution…
La solution ? Abandonner. Arrête de résister…
Je suis sérieux. Laisse-tomber. Tu ne gagneras jamais ce combat. Je te l’ai dit : les meilleurs ingénieurs du monde ont travaillé pour que ton téléphone soit addictif.
Mais ce n’est pas un problème en soi.
Le téléphone n’est pas le problème. Facebook n’est pas le problème. Le vrai problème au final c’est que ça t’alimente avec quelque chose de mauvais.
Je pinaille sur les mots !
Non.
La différence est énorme. Ça veut dire que tu n’es pas obligé de lutter à la source. Tu peux lutter entre la source et le point d’arrivée.
Je m’explique.
Plus besoin d’essayer de lutter comme un karatéka.
Deviens judoka : redirige l’énergie addictive du téléphone vers un but positif
Si tu nourris ton téléphone avec de la matière première de qualité, il va te renvoyer de la qualité.
Si tu décides de t’abonner à des pages Facebook qui éclairent plutôt que des pages qui abrutissent, peu importe que tu sois addict à Facebook. Idem pour Instagram.
Je te propose un point de départ pour cette nouvelle vie numérique : un email tous les matins
Si tu t’abonnes à l’Atelier Galita, tu vas vaincre ton téléphone à son propre jeu. Pour en faire un distributeur à énergie mentale le matin. Tu vas continuer à utiliser ton téléphone tous les matins. Mais ce sera pour nourrir ton esprit.
L’Atelier Galita c’est des emails quotidiens, anti-zombie
Tu n’as rien à faire de spécial, tu n’as plus besoin de lutter. Et quand tu auras rejoint l’Atelier, tu te sentiras mieux. Tous les matins.
Regarde, ce n’est pas moi qui le dit :
Comme Nina, tu peux accomplir quelque chose avant même d’avoir posé un pied par terre. Tu peux avoir la garantie de commencer ta journée en apprenant quelque chose en moins de deux minutes.
N’importe qui peut reprendre le contrôle de sa vie numérique
À condition d’être réaliste : si on ne peut pas s’empêcher de lutter contre le réflexe de prendre son téléphone au réveil. On peut s’arranger pour en faire un moment constructif.
Il suffit de s’approvisionner correctement
Or, j’ai déjà fait le travail pour toi. Tu n’as pas besoin d’aller faire l’effort de trier. Je le fais pour toi. Avec l’Atelier Galita : un email anti-zombie chaque matin de la semaine.
Mais concrètement… l’Atelier Galita y’a quoi dedans ?
=======================Ce que ça va t’apporter l’Atelier ===============
Une victoire chaque matin
La sensation d’avoir accompli quelque chose (l’apprentissage) dans ta journée, avant même d’avoir mis un pied par terre
Du contenu qui éclaire ta pensée au lieu de l’embrouiller.
Des formats variés, pour rompre la monotonie.
Tu vas apprendre quelque chose tous les jours. En moins de deux minutes.
Des choses intemporelles. Tu pourras relire dans dix ans, ce sera toujours le même message. L’inverse des actualités éphémères, anxiogènes et inutiles.
Découvrir les gens qui m’inspirent tous les jours
Décoder des livres, des vidéos que tu as vu passer, des idées sur lesquelles tu n’avais pas encore mis de mots
Un résumé des livres, conférences, vidéos, podcasts, albums… qui m’inspirent
===========================Les différents formats=====================
1. Les micro-pensées
Quasiment la moitié des emails de l’Atelier sont des micro-pensées. C'est un format court où je développe une pensée qu'une oeuvre ou un moment m'a inspiré. Et à la fin je te dis où j'ai volé le concept pour que tu puisses aller à la source.
Exemple :[Micro-Pensée] Ma grand mère avait raison
2. Les découvertes de la semaine
Tous les vendredis je te résume Pour partager tout ce que j'ai lu, vu et qui m'a marqué dans une semaine : livres, articles, podcasts, conférences, vidéos courtes, vidéos longues, etc. L'idée c'est de te sélectionner uniquement le meilleur parmi tout le contenu que j'incurgite. Pour avoir quelque chose de digeste et qui peut te donner des idées.
Exemple : Les découvertes de la semaine #8
3. Les discussions ouvertes
Une fois par semaine, je propose un sujet de débat, réflexion…un dilemme. Et c’est à vous de jouer. L’idée c’est d’avoir un thème qui suscite des discussions enrichissantes. Par exemple “quel livre vous lisez en ce moment ?”
Exemple : [Discussion ouverte] Tu peux dîner avec n'importe qui, tu choisis qui ?
4. Les légendes urbaines
Contenu plus rare. Genre une fois par mois. Il s’agit de découper à la tronçonneuse une idée ultra-répandue mais complètement fausse.
Par exemple : l’idée que nos ancêtres mouraient à 30 ans.