Concevoir des formations que les gens appliquent VRAIMENT. La Méthode APS.
Quand tu dois produire des formations, tu t’inquiètes généralement de faux problèmes. En tout cas c’est ce que j’ai observé. Tu vas te demander :
Comment faire un contenu clair ?
Comment gérer l’animation le jour J ?
Comment faire de beaux supports ?
Comment gérer le fait que les gens ne partent pas du tout du même niveau ?
Comment intégrer les connaissances les plus sophistiquées pour pas que les gens se disent que ce que je leur ai montré était évident ou une piqûre de rappel ?
Ce sont de vraies questions. Importantes. Mais je dirais que tout ça compte pour 20%. Alors que y’a LA question qui va compter pour 80% à elle tout seule.
Cette question c’est :
Comment structurer efficacement la formation ?
Alors oui, c’est moins sexy mais je t’assure que c’est la clé. Le but ultime c’est quand tu arrives à faire une structure ( dans le jargon pédagogique on dit une scénarisation) si forte que n’importe qui pourrait l’animer.
De la même manière que le format The Voice ne dépend pas du charisme de l’animateur ou l’animatrice. Dans plein de pays différents le format cartonne.
Et bah c’est possible aussi en pédagogie : une formation tellement bien scénarisée que n’importe qui peut la dispenser.
Toi, tu mises tout sur ton propre charisme
Mais comme tu ne sais pas comment faire, tu ne crées pas des formations The Voice. Tu crées des formations One Man Show/ One Woman Show.
Un truc qui dépend de ton charisme, de ton talent, pour fonctionner.
C’est également ce que j’ai fait pendant les 8 premières années de mon métier de formateur.
Et les gens étaient contents. Parce que je suis fort dans cet exercice. D’ailleurs un des retours qu’on me faisait le plus c’était :
Tu devrais lancer un spectacle de Stand-up.
Mais j’avais un problème : je faisais les scénarisation de mes formations au feeling.
Ça n’était pas catastrophique, mais ça faisait que je mettais des années à régler certains soucis. Tu sais quand, à chaque formation, tu as la même objection qui revient et que tu sais que c’est pas normal… Y’a des objections qui sont normales, mais pas celle-ci. Celle-ci en plus te fait débattre pendant de longues minutes avec la personne, à chaque fois. C’est épuisant.
Ou alors, tu as une perte de motivation du groupe toujours à la même heure. Genre à 15h15, lors de telle séquence, les gens traînent un peu des pieds pour faire l’activité.
Pire encore, tu as une activité où tu perds une petite partie de la salle, systématiquement.
J’avais des petits soucis comme ça mais je n’avais aucune idée de pourquoi ni de comment les résoudre. Parfois je me disais même que c’était naturel et donc inévitable. Alors qu’aujourd’hui je sais identifier exactement pourquoi la conception même de la formation a créé le souci en question.
Les 3 dangers mortels invisibles
Dans une formation tu as plusieurs niveaux d’efficacité. On appelle ça le modèle de Kirkpatrick.
Le premier niveau c’est est-ce que les gens ont kiffé ?
Ça, normalement, si tu te débrouilles bien tu peux t’en rendre compte.
Le pire c’est que beaucoup de gens que tu formes vont considérer que ça suffit. Parce que la réalité c’est que la grande majorité des formations sont chiantes et/ou inutile.
Donc si déjà tu arrives à faire kiffer les gens… en vrai tu te distingues déjà comme étant dans le top des formatrices/formateurs.
Mais est-ce que tu as pensé aux niveaux invisibles ?
Au deuxième niveau tu as : est-ce que les gens ont accumulé les connaissances théoriques et ont la confiance de pouvoir essayer ?
Là déjà c’est plus dur. Probablement que tu ne poses jamais la question. Donc les gens kiffent la formation, puis reviennent et … n’essaient pas parce qu’ils n’ont pas assez confiance en leur capacité.
Au troisième niveau tu as : est-ce que les gens ont pratiqué dans leur contexte de travail ?
Bon bah alors là, n’en parlons même pas. Je peux même te dévoiler un chiffre : 85% des gens suivant une formation échouent ensuite à pratiquer durablement dans leur contexte de travail.
Au quatrième niveau tu as : est-ce que les gens ont obtenu les résultats escomptés ?
Joker. On n’a souvent même pas les moyens de le mesurer.
Comment éviter ces dangers ?
Tu sais probablement comment éviter que les gens ne kiffent pas. Mais est-ce que tu sais comment éviter que les gens :
Ne comprennent pas ?
Ne fassent pas ensuite ?
Ne fassent plus ?
La réthorique ne servira à rien
Bien sûr que si tu prends des cours de rhétoriques tu auras davantage de facilité à faire kiffer ton auditoire. Mais, on l’a vu, c’est une impasse. C’est mieux que rien mais c’est une impasse.
Tu vas juste te retrouver avec des gens qui passent des bons moments puis qui n’obtiennent pas les résultats.
Les neurosciences ne te serviront à rien
Un jour on m’a dit :
S'intéresser aux neurosciences pour améliorer sa pédagogie c'est comme s'intéresser à la podologie pour améliorer son football. C'est pas TOTALEMENT inutile, mais c'est globalement une perte de temps.
Ça expliquait ce sentiment bizarre que j'avais à chaque fois que je lisais un de ces livres où on m'expliquait que les gens avaient des canaux d'apprentissages différents, que l'attention était limitée etc... mais ou rien ne me servait concrètement dans ma pratique de formateur.
Ou alors, quand ça me servait, c'était à la marge.
Alors j’ai erré. Jusqu’à ce qu’un jour je découvre le contenu de Philippa Hardman et qu et que je constate que y'a bien une science de la pédagogie. Et ce n'est pas la neuroscience : c'est tout simplement un truc qui s’appelle... les sciences de l'éducation.
Malheureusement, c'est un champ qui est très peu connu en France, par le grand public. Et je pense que c'est en partie parce que le métier de prof est très peu reconnu/valorisé.
Quand un ancien président de la République explique avec morgue que quand même... quand on est prof de maternelle y'a rien à préparer pour donner cours... tout est dit.
Dans un monde où tout le monde aurait une connaissance basique des sciences de l’éducation ce propos déclencherait l'hilarité. Parce que tout le monde saurait que la conception pédagogique est aussi importante, voire plus importante que l’animation le jour J. Peu importe l’âge du public.
D'ailleurs, même sans malveillance, c'est fou le nombre de gens qui me demandent sincèrement "mais tu fais quoi quand tu n'es pas en salle de formation ?".
Alors que scénariser une formation prend du temps. Souvent autant de temps que la durée de la formation, voire plus. Ce n'est pas pour rien si le temps de travail des profs en salle est de 18 heures.
Il y a une manière scientifique de scénariser/ designer ta formation
La bonne nouvelle c’est que y’a une méthode scientifique pour scénariser. Pour arrêter de faire comme moi avant : au feeling.
L’autre bonne nouvelle c’est que ça va te demander moins de travail qu’actuellement.
Premièrement parce que tu vas suivre une méthode donc tu vas arrêter de le faire de manière artistique. Avant, quand je scénarisais, je me lançais vraiment dans une tâche artistique. D’ailleurs je me disais souvent en vrai si je refaisais ça un autre jour, je tomberai probablement sur un plan différent.
Deuxièmement parce que tu prépares probablement trop de contenu aujourd’hui. Le plus dur c’est, de très loin, d’alléger son contenu. Pas d’en faire plus.
J’ai déjà lancé une formation sur le sujet
L’an dernier j’ai lancé une formation exactement sur ce sujet.
Est-ce que j’ai découvert d’autres concepts qui font que je la mets à jour ?
Non.
Enfin oui… mais ce n’est pas la question, j’aurais pu vraiment faire le même contenu que la dernière fois.
Alors pourquoi je viens t’embêter ? Pour relancer la même ?
Non plus.
Tout est pareil. Mais tout a changé.
Parce que, pour la première fois de l’histoire de l’Atelier Galita, je ne vais pas te proposer une mini-formation. Je ne vais pas te proposer un truc que tu peux écouter en podcast pendant que tu fais ton ménage.
Parce que les sciences de l’éducation nous disent que ce format est voué à déclencher la réussite concrète chez peu de personnes (15%). D’ailleurs c’est à peu près le nombre de personnes qui vont au bout de mes mini-formations.
Est-ce inutile pour autant ? Non. Parce que pour le prix qu’elles coûtent, j’estime qu’une probabilité de 15% c’est pas si mal.
Le nouveau format que je vais te proposer va te demander un investissement d’une quinzaine d’heures.
Et ça va coûter 10 fois plus cher. Mais pour une probabilité plus proche de 90% d’application.
Un cours basé sur un projet en cohorte
Les sciences de l’éducation sont formelles : le format de formation qui a le plus de chances d’aboutir c’est le Cohort-based learning.
C’est un gros mot pour dire que les élèves vont mener à bien un projet proche de leur contexte réel de travail, au sein d’une “promo”. Tout le monde commence et finit en même temps.
Quel intérêt alors pour le cohort-based learning ? En un mot : l’efficacité. Alors que les formations asynchrones affichent entre 3 et 7% de taux de complétion (programmes suivis de A à Z), les cohort-based courses font exploser ce taux à 75%. Pourquoi ? Ce modèle de « cohorte en ligne » offre une interactivité et une communauté quasi inexistantes dans les programmes en ligne individuels.
Et donc je te propose mon nouveau Bootcamp :
Concevoir des formations que les gens appliquent VRAIMENT. La Méthode APS.
La mécanique
Le bootcamp est structuré autour de 3 moments décisifs pour scénariser une formation :
Analyser correctement les besoins de ton audience pour ajuster le bon niveau de difficulté
Prioriser et ordonner les objectifs pédagogiques en suivant un ordre méthodique
Scénariser les grandes lignes de la formation
Tu auras donc un projet en 3 missions. Chaque mission consistant à faire une partie de cette méthode pour scénariser (ou rescénariser) une formation à toi.
Tu as une semaine pour réaliser chaque mission.
Cette mission tu l’exécute seul·e, à la maison. Et, pour y arriver, tu as des vidéos et des ressources à ta disposition. Cette partie est asynchrone et tu la gères comme tu veux. Compte pour environ 1h30 par semaine pour exécuter la mission. 20-30 minutes pour la partie regarder les vidéos et 1h-1h15 pour la partie faire le travail de la mission.
Quand ta mission est réalisée tu me l’envoies via une plateforme qui s’appelle Maven et je te fais un petit retour.
Mais surtout… tu viens en live pour une expérience collective. À chaque Live de la semaine, je fais un retour sur les erreurs les plus fréquentes que j’ai vu. Mais, surtout, tu es en binôme ou trinôme et tu vas faire un retour sur le travail d’une autre personne. Et inversement.
Car, être capable de faire un retour à quelqu’un, cimente drastiquement l’apprentissage.
Pour récapituler ça fait donc chaque semaine :
Des vidéos à regarder (30 minutes)
Une partie du projet à effectuer (1 heure - 1h30)
Les lives en visio (2 heures).
Le tout pendant 3 semaines.
Les bonus offerts
Ça c’était le squelette du bootcamp. Mais y’a des bonus.
🎁 Bonus #1 (387€ de valeur)
À la fin des 3 semaines je te donne un accès temporaire à 3 mini-formations :
[Pédagogie] La formule ultime pour ne plus jamais structurer tes cours au hasard et créer des cours clairs. (149€)
Préparer une prise de parole : ma méthode complète. (109€)
Transforme ta pensée en écriture claire. Une méthode pas à pas. (129€)
La première reprend les mêmes concepts mais ça te laisse le temps de réviser.
La deuxième ? Oui, on a dit que la réthorique n’est pas la solution mais ça aide, c’est pour ça que ça va en bonus.
La troisième ? Je sais que parmi vous y’a des gens qui doivent aussi faire de la pédagogie à l’écrit, donc ça peut servir aussi si vous devez écrire des articles didactiques.
🎁 Bonus #2 : deux coachings collectifs (198€)
Après les 3 semaines intensives, on se revoit pour deux sessions de coaching collectif. On en fait un 1 mois après, et un deuxième environ 2 mois après. Ça permet de faire un retour d’expérience sur ce que vous avez réussi à appliquer ou pas et voir si je peux vous débloquer.
🎁 Bonus #3 : un livre surprise sur la pédagogie (24€)
Je t’envoie, par la poste, à l’adresse que tu veux mon livre préféré sur la pédagogie. Je l’aime parce que non seulement il est court mais il se picore : c’est plein de fiches indépendantes les une des autres qui couvrent à peu près toutes les questions qu’on peut se poser sur la pédagogie.
Tu veux te lancer dans l’aventure ?
Comme tu l’as compris, c’est une première pour moi. En tout cas pour l’Atelier. Dans l’entreprise où je travaille ça fait déjà un an que j’organise des bootcamps comme ça.
Mais je ne sais pas s’il y a une demande ici. Donc c’est un test. Si vous êtes moins de 6 à embarquer dedans, on annule et je rembourse tout le monde.
Si vous êtes au moins 6, roulez jeunesse !
Bien sûr, ce bootcamp est pour toi uniquement si tu as le temps d’investir dans une telle formation. Si tu as un vrai projet de formation. Contrairement au mini-formation, je te déconseille d’acheter si tu veux juste de la culture générale pour te préparer un jour. Si c’est ton cas tu peux juste prendre ma mini-formation sur la pédagogie.
Si tu veux en savoir plus c’est par ici :
https://maven.com/nicolas-galita/designpedagogique?promoCode=First
Les dates des lives
Ça sera sur 4 vendredis à la suite, de 13 heures à 15 heures. Pourquoi 4 ? Parce qu’on va faire un Live #0 de lancement pour embarquer tout le monde, s’assurer que vous ayez accès à tout, répondre à vos questions, etc.
Ça donne donc :
Vendredi 28 février : Live #0 - Logistiques, questions, objectifs personnels d’apprentissage
Vendredi 07 mars : Live #1 - Analyser correctement les besoins de ton audience
Vendredi 14 mars : Live #2 - Prioriser et ordonner les objectifs pédagogiques en suivant un ordre méthodique
Vendredi 21 mars : Live #3 - Scénariser les grandes lignes de la formation
Vendredi 11 avril : Coaching collectif #1 - Vos retours d’expérience d’application
Vendredi 30 mai : Coaching collectif #2 - Vos blocages persistants
Combien ça coûte ?
Tu l’as compris, c’est la version de luxe de la formation. Rien que les bonus valent 609€. Et le bootcamp de Philippa Hardman que j’ai moi-même suivi coûte 1200€ sans aucun bonus.
Pour cette première expérience je te le propose à 799€.
Et… si tu te décides avant la fin de cette semaine je te le propose à 650€. En passant par ce lien spécial :
https://maven.com/nicolas-galita/designpedagogique?promoCode=First
Note : je n’ai pas encore configuré l’option paiement en 3 ou 6 fois mais je te le propose dans la semaine.
Tu hésites encore…
À ta place je me serai posé les questions suivantes :
🤔 Est-ce que c’est adapté si jamais je produis uniquement des formations asynchrones ?
Ce sera moins idéal. L’idéal c’est que tu puisses envisager d’avoir une dose de live, que ça soit à distance ou en présentiel. Pour autant ça te servira quand même. Pour faire mes formations asynchrones j’utilise également la méthode APS.
🤔 Est-ce que c’est adapté si je fais uniquement des one-shot (un présentiel par exemple ?
Si tu fais du présentiel d’un coup, que ça soit 1 ou plusieurs jours d’affilée, ça sera également moins idéal. Idem si tu fais juste un live à distance. Dans la méthode y’a l’idée que tu puisses espacer les séquences. Mais ça reste possible. D’ailleurs c’est la première chose que j’ai faite. Quand on m’a enseigné cette méthode je l’ai appliqué sur une journée de présentiel, et c’était fou comment ça a drastiquement amélioré ma formation !
🤔 Et si je ne peux pas venir aux lives ?
Tu peux rater un live sans que ça soit dramatique. Mais si tu sais déjà que tu ne seras pas disponible à une date, je te suggère plutôt d’attendre que j’en refasse un à des dates différentes.
🤔 Je n’ai pas le budget en un coup
Sur un budget comme ça j’ai prévu de te proposer une option pour payer en plusieurs fois sans frais. En 3 ou 6 fois. Mais je suis encore en train de suivre le tutoriel pour apprendre comment configurer ça sur l’outil. Ça devrait venir cette semaine.
Voilà. Je te donne RDV de l’autre côté.
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