Ça fait désormais un mois que j’ai commencé l’Atelier Galita.
L’expérience a dépassé toutes mes attentes. Je ne pensais pas que ce serait un changement aussi grand dans ma vie. J’ai découvert un plaisir d’écriture que je ne connaissais pas. Le plaisir de la consistance.
Écrire tous les jours à un petit nombre de personnes change la donne.
Enfin…je dis “petit nombre” mais vous êtes quasiment 2000.
Ce qui a été le plus impressionnant ce sont vos retours.
Même des gens qui sont très proches de moi sont venus me voir en me disant qu’ils adoraient l’Atelier.
Pour commencer : un grand merci à toi
Si tu lis cet email c’est que tu auras fait partie des tous premiers à avoir rejoint l’aventure. Dans 5 ans il y’a deux cas de figure possible
Ce projet aura grandi jusqu’à atteindre une taille qui me permet d’en vivre en faisant la promotion de mon écriture. Tu pourras dire aux autres : j’étais là au tout début.
Ce projet aura été abandonné. Tu pourras me dire “hey, tu te rappelles du bon vieux temps quand t’avais lancé l’Atelier ? Pourquoi t’avais arrêté déjà, moi j’aimais bien ?”. Comme les gens qui ont suivi mon premier blog (les sourceurs) et qui viennent m’en parler aujourd’hui.
On va maintenant apprendre à faire une chose
Je réalise en discutant avec certains d’entre vous que vous n’avez pas la moindre idée d’avoir été embarqué dans quelque chose de spécial (sur le plan technique).
Si c’est ton cas : tant mieux. Ça veut dire que le changement d’outil a été indolore pour toi. Ça veut dire que tu n’as pas remarqué que l’expéditeur des emails a changé. Avant c’était nicolas@dessinetoiunemploi.com, maintenant c’est nicolasgalita@substack.com.
Avant j’utilisais un outil d’emailing classique (Drip), maintenant j’utilise un outil révolutionnaire qui fusionne emailing et blog : Substack.

Pourquoi je t’en parle alors que tu t’en fous ?
Tu reçois les emails sur le trajet du boulot, tu les consommes comme des mini-friandises. Pourquoi tu aurais besoin des détails techniques ?
Tu as raison : tu n’en as pas besoin.
En revanche, voici quelque chose qui n’est pas un détail : chaque email est en même temps un article de blog.
Mais…Nicolas… qu’est-ce que ça peut me faire ?
Patience, patience, j’arrive à la conséquence pour toi. Le fait que j’utilise Substack et non pas un outil d’emailing normal te permet de retrouver n’importe quel email.
Plusieurs parmi vous sont venus me voir en disant qu’ils n’avaient pas reçu tel ou tel email. Alors…en vrai…ils les avait reçu mais ils étaient tombé dans une boîte secondaire (spam, promotions, newsletter, etc).
Pars du principe que j’écris tous les jours à 09h du matin. Donc si tu n’as pas vu l’email…tape “nicolas galita” dans ta barre de recherche et tu retrouveras l’email.
Tu t’égares…ça j’aurais pu le faire avec un email classique
Oui. Je digresse. Voici donc la conséquence pour toi : tu peux retrouver n’importe quel email directement sur le blog. Il te suffit de taper “Atelier Galita” dans Google ou bien d’aller directement sur nicolasgalita.substack.com
Tu vas arriver sur une page avec tous les emails classés et ordonnés sous forme d’articles de blog.

Ce n’est pas moi qui copie-colle tout : c’est automatique. C’est le principe même de Substack. Donc pas besoin de stresser parce que tu ne retrouves pas un email ou alors te donner la peine de tout ranger dans un dossier de ta boîte mail (si tu n’aimes pas ça). Tu pourras toujours retrouver tous les emails en te rappelant de ce lien.
D’ailleurs, tu n’as même pas à te rappeler du lien. Si tu tapes juste “atelier galita” dans Google, tu arriveras sur les liens Substack :

Comment inscrire un ami à l’Atelier ?
D’abord, demande-lui sa permission. Ensuite, va directement sur nicolasgalita.substack.com/welcome. Une page quasiment toute blanche va s’ouvrir avec un champ :

Tu n’as plus qu’à rentrer son email dans le champ en question et le tour est joué !
J’ai des choses à t’annoncer…
Je m’étais dit que si j’arrivais à tenir un mois à envoyer un email tous les jours à 09h (10h le dimanche), je professionnaliserai ce projet. Qu’est-ce que ça veut dire ? J’ai déjà beaucoup parlé : je t’en parle tout au long de cette semaine.