Je sais qu’il y a toute une team de personnes qui n’achètent que le dernier jour. Et bien ce jour est arrivé. Si tu veux profiter du tarif de lancement de ma formation pour diminuer ta consommation de sucre c’est maintenant. Ce soir à 23h59 le prix va tripler.
Si tu hésites, n’oublie pas que tu peux la prendre maintenant et la regarder quand tu veux. Et, si ça ne t’apporte pas satisfaction tu me demandes un remboursement. Je le fais toujours, peu importe le motif. Après tout, c’est un produit immatériel donc je peux me le permettre sans me mettre en difficulté.
Cette semaine on parle sucre. Plus précisément de comment diminuer sa consommation. J’insiste sur le mot diminuer. Je n’ai moi-même pas arrêté totalement et je ne sais même pas si c’est souhaitable. En revanche, voilà ce que je sais : notre consommation moyenne est deux fois plus élevée que l’ancienne recommandation OMS et quatre fois plus élevée que la nouvelle.
Important : on parle ici du sucre ajouté ou celui des jus de fruit, du sirop et du miel.
Mais qu’est-ce que ça apporte vraiment de diminuer sa consommation ? Voici 7 bénéfices.
#1 | Reprendre le contrôle
Le sucre ne déclenche pas d’addiction au même titre que la nicotine. La fameuse expérience avec des rats qui montrent que le sucre est plus addictif que la cocaïne est plus spectaculaire que pertinente.
Il est bon de ne pas confondre les effets d’une drogue réelle (tabac, alcool, etc) et les effets des drogues métaphoriques.
Pour autant, ce n’est pas non plus anodin. Il existe un véritable conditionnement qui nous fait consommer trop de sucres. Plusieurs, même.
L’un d’entre eux est l’imagerie du sucre qui vient réconforter un chagrin d’amour ou un chagrin tout court. Ce conditionnement est très puissant car véhiculée par les publicités et les séries. Notamment sur la cible féminine où les publicitaires ont tendance à présenter la nourriture soit comme atout minceur, soit comme source de réconfort.
La bonne nouvelle c’est qu’on peut se “déconditionner”. Ce qui s’apprend peut se désapprendre. Ne serait-ce qu’en prenant conscience que ce n’est pas en nous depuis le début.
L’autre conditionnement est le fait de consommer un dessert après son plat. Ce qui développe un réflexe sucré.
Reprendre le contrôle sur ma consommation m’a permis de retrouver le vrai goût du sucre. Car, comme toutes les “drogues”, le cerveau s’habitue à une certaine dose et on doit l’augmenter à chaque fois.
Du coup, je suis désormais écoeuré quand je mange certains gâteaux (de mauvaise qualité) que j’adorais avant. En me déconditionnant j’ai pu apprécier à nouveau le goût en lui-même. J’ai désormais accès à la réaction “c’est trop sucré” de ma langue. Alors, qu’avant, rien ne pouvait être trop sucré à mon goût. Je ne comprenais même pas ce que ça voulait dire.
De même, refaire le choix du dessert, comme on fait le choix de l’entrée redonne du pouvoir. Ça ne veut pas dire que je ne consomme plus du tout de dessert, ça veut dire que je ne le fais plus systématiquement. Je me pose la question à chaque fois.
#2 | Se prouver qu’on peut
Pendant le premier confinement, j’ai ressenti une peur de manquer de nourriture. J’ai donc décidé d’essayer de jeûner pendant 48 heures.
Verdict : ce n’était pas si terrible que ça. Depuis, j’ai totalement changé mon rapport à la nourriture : je ne mange plus trois fois par jour.
Parfois, je mange 5 fois par jour. Parfois je mange une seule fois. J’écoute mon corps. Alors qu’avant je mangeais 3 fois par conditionnement.
Ce n’est pas normal d’avoir si peur de manquer. Surtout dans les conditions de vie d’un pays développé. Si tu ressens cette peur, quelque chose cloche. On t’a conditionné·e.
Je remarque que plein de personnes ont la même peur vis-à-vis du sucre : non mais ça sert à quoi de vivre si on peut pas se faire plaisir.
Justement : il ne s’agit surtout pas d’arrêter de se faire plaisir mais justement d’essayer de diminuer temporairement le plaisir, pour mieux le savourer ensuite.
Souvent, on se comporte comme si un tel changement était irréversible. Je le vois sur le végétarisme. J’ai plein de proches végétariens qui ont envie de manger de la viande. Je leur dis :
Bah, vas-y ? Si vraiment tu as envie, manges-en une fois… ce sera toujours mieux que si tu en mangeais tout le temps.
Et souvent la personne me répond que ça serait une atteinte trop forte à son identification, son drapeau, ses valeurs.
Alors que j’ai toujours vu mon végétarisme comme un choix. Si un jour je fais le choix de revenir à un régime omnivore je sais que j’aurais fait mon propre cheminement. Ce n’est pas un choix irréversible. Tu as le droit d’alterner. Sans te préoccuper de la pression des autres. Dans un sens comme dans l’autre. On fait de notre mieux.
D’ailleurs, pendant mes vacances en Guadeloupe j’ai décidé de m’autoriser le poisson local et frais. Je ne savais pas si j’allais continuer à manger du poisson à mon retour à Paris. Verdict : non. Mais ça aurait pu être un oui si je n’avais pas l’impression que le poisson qu’on me propose ici est de bien moindre qualité.
Je m’égare. Je te disais que ce n’est pas normal de ressentir la peur de manquer d’un aliment. C’est d’ailleurs également ce qui m’a poussé à essayer d’être végétarien. Parce que j’avais lu qu’on ne pouvait pas soutenir ce rythme de consommation avec une seule planète. J’ai commencé à avoir peur d’un jour vivre dans un monde sans viande. Cette peur m’inquiétait. Alors… j’ai essayé, pour voir. Finalement c’est cool. Si je redeviens omnivore j’aurai guéri à tout jamais de cette peur : je sais que je peux vivre sans viande et bien le vivre.
Il en va de même pour le sucre : tu verras que tu peux vivre sans, sans en souffrir.
#3 | Les effets sur la santé
En faisant mes recherches j’ai été influencé par un livre qui est controversé : celui de Robert Lustig. Bien entendu, je ne savais pas qu’il était controversé : j’ai été alerté par l’un d’entre vous.
C’est un livre qui a tendance à noircir les dégâts du sucre, en disant que n’importe quelle dose de sucre est un poison.
Il semblerait que ça soit excessif. Depuis, j’ai lu des sources contradictoires qui montrent que le sucre consommé à petite dose n’est pas nocif.
Et ça tombe bien, puisque c’est exactement ce que j’ai visé : ne pas tout supprimer mais revenir à des doses plus petites.
En revanche, je n’ai trouvé aucune source disant : c’est bénéfique de consommer 95g de sucre par jour (la consommation moyenne en France). Il y a un consensus sur le fait qu’on en consomme trop et que la réduction est bénéfique.
Avec des effets mal connus, mais on a des pistes sur : l’amélioration du sommeil, l’amélioration de la santé mentale, la perte de poids…
En la matière, essaie et tu verras. Pour ma part, je suis revenu à mon poids de forme. Mais c’est parce que je buvais 1 à 2 litre de jus de fruit tous les jours.
D’ailleurs je n’étais pas content sur le coup. Parce que perdre du poids n’a jamais été mon but. En revanche, je dors mieux depuis, c’est indéniable.
Mais le problème c’est que je ne sais pas si je dors mieux parce que j’ai diminué le sucre ou si je dors mieux parce que j’ai pris conscience qu’il fallait mieux dormir.
Essaie de ton côté, tu verras. Chaque personne a un métabolisme différent et réagit différemment.
Il existe parmi vous au moins une personne (qui se reconnaîtrait) qui consomme une cuillère de simili-Nutella tous les jours sans jamais la moindre conséquence physique.
#4 | Savourer encore plus
Comme je te disais, maintenant j’aime encore plus le sucre qu’avant. Parce que je le consomme quand je le choisis. Parce que j’ai retrouvé un palet qui distingue le légèrement sucré du trop sucré.
D’ailleurs, il n’y a pas de secret : souvent les trucs qui m’écoeurent sont les produits de mauvaise qualité.
Par exemple, j’ai réintroduit depuis un an les croissants dans mon alimentation. Et bien, désormais certains croissants m’écoeurent. Parce qu’ils sont trop “grossiers”.
Dédidace à la boulangerie Utopie qui fait des croissants géniaux.
#5 | Manger mieux
C’est probablement le point le plus important. C’est aussi lui qui explique pourquoi il est si compliqué de conclure définitivement sur les effets du sucre sur la santé.
En effet, n’importe quelle personne se mettant à réfléchir à ce qu’elle mange va commencer à mieux manger. Que ce soit en devenant végétarienne, en faisant des jeûnes intermittent ou en réduisant le sucre.
Car, dès qu’on s’éloigne de la norme il faut réapprendre à se réapprovisonner. Avant d’être végétarien je ne me posais pas la question de ce que j’achetais. En devenant végétarien je me suis également mis à consommer bio… parce que je comprenais mieux ce que j’achetais.
C’est pour ça que c’est dur de dire si c’est le végétarisme en soi qui améliore la santé des personnes ou si c’est l’effet indirect de faire attention. Idem, pour le sucre : on sait que les gens qui consomment plus de sucre ont plus de chances d’être déprimés. Mais est-ce parce que les gens déprimés consomment plus de sucres pour se réconforter ? Ou l’inverse ? C’est le sucre qui détruit certains récepteurs des neurones ? Ou les deux ?
J’ai la conviction que réfléchir à ce qu’on mange est beaucoup plus important que la route qu’on choisit de suivre.
Alors… bien sûr à condition de tirer des conclusions de nos réflexions. Mais ce que je veux dire c’est qu’il y a plein de manière (opposées sur le papier) de manger mieux.
Chaque fois que tu vas réfléchir à ce que tu manges, tu vas améliorer ton bien-être. Pas forcément par effet direct, mais simplement par meilleure compréhension.
En devenant végétarien, le premier truc que j’ai appris c’est ce que veut dire “repas équilibré”. Avant, je n’en avais pas besoin : on me proposait des combinaisons déjà toute faite.
En diminuant le sucre c’est pareil : je me suis mis à manger davantage de légumes car il fallait bien compenser ce que je consommais plus au dessert.
Ça aurait été pareil si j’avais décidé de passer à une alimentation “low-carb” avec beaucoup de viande blanche mais moins de féculents. Là encore on gagne énormément en améliorant ses connaissances en nutrition. En s’y intéressant. Comme tous les domaines.
C’est un effet positif indirect.
#6 | L’anti-régime
Je sais… on dirait que je te propose un régime. Mais selon moi je te propose précisément l’inverse : sortir de la logique punitive. Comprendre pourquoi on veut arrêter pour ensuite s’appliquer ce qu’on a décidé. Le tout en restant indulgent·e avec soi-même.
La logique punitive est dangereuse : c’est pour ça qu’énormément de régimes aboutissent sur un résultat pire qu’au départ. Car on se relâche encore pire après.
On va donc au contraire travailler sur une volonté enthousiaste et non contrainte avant même d’essayer de changer quoi que ce soit.
Quand j’ai décidé de réduire le sucre, j’ai été enthousiaste dès le premier jour. Je le suis encore aujourd’hui.
Mais parce que, justement je n’applique pas de logique punitive. Là si je veux je vais acheter un muffin au chocolat, et ce sera ok. Je suis un adulte, pas un enfant. Je gère donc du mieux avec les cartes que j’ai, en toute bienveillance avec moi-même.
#7 | Les avis des personnes qui ont déjà suivi la formation
L’avantage de proposer des formations qui durent moins de deux heures c’est que certaines personnes l’ont déjà finie entre mardi et aujourd’hui. Voici deux retours.
Le premier, de Catherine :
Merci pour cette formation très intéressante !
Les pépites pour moi ont été : le rappel de la recommandation journalière de sucre par l'OMS et le fait de préparer ses placards en se fixant une limite sur l'étiquette. Je ne l'avais encore jamais fait de façon si méthodique et je pense que c'est le truc qui me manquait.
Je vais donc me lancer dans la préparation de mes placards et ensuite dans la détox (il me restera suffisamment de temps avant Noël)
Pour les points à améliorer (mineurs) : je n'ai pas vu la recette de miam au fruit (mais bon on la trouve facilement sur internet quand même) et au niveau des vidéos, je ne trouve pas cela très agréable de voir l'éclairage en reflet dans le miroir derrière toi (bon, pas le truc le plus catastrophique sur terre 😂)
Le second, de Katell :
J'ai beaucoup hésité à m'inscrire à cette formation car je connaissais pas mal de choses sur l'addiction au sucre.
Au final, beaucoup de redites avec ce que je connaissais déjà mais quelques idées fortes (différence entre plaisir et bonheur, avoir appris à se goinfrer pour compenser des émotions, cette manière là de regarder les étiquettes, prendre une entrée plutôt qu'un dessert au resto, etc.).
C’est la dernière fois que je te le rappelle
Nous voici arrivés au bout du chemin. Si tu veux obtenir ma formation Le sucre est une drogue. Ma méthode pour reprendre le contrôle, c’est maintenant. Demain (donc ce soir à minuit) le prix va tripler.
Voici le lien spécial pour en profiter :
Si tu es premium, va dans l’email de mardi pour avoir ton code spécial plus avantageux.
Il n’y aura pas le traditionnel dernier email de relance à 18h00. Je sais que beaucoup d’entre vous attendent ce tout dernier email pour prendre leur décision. Ne comptez pas dessus aujourd’hui. Parce que je vous prépare une autre surprise… vers midi.
(la preuve c'est que je vais pas acheter avant ce soir HÉ OUAIS)
(ça doit être la team procrastineurs professionnelle comme moi)